Tout le monde a reçu l'invitation : les élèves et les professeurs sont conviés à rejoindre le dortoir des Castelobruxo pour une fête grandiose. Les lieux ont été spécialement aménagés pour l'occasion : néons, bar, alcôves, piste de danse et platines. La musique a des relents latins, les murs sont recouverts de tiges de bambous, et le plafond regorge d'étoiles. Des bols de punch sont disséminés un peu partout dans la pièce, avec des tranches d'ananas accrochées sur les rebords des bols. Au bar, Tango sert des cocktails avec un sourire brûlant. L'ambiance est encore tiède, mais la nuit ne fait que commencer...
Les précisions
Précisions La fête débute le samedi soir à 20H, le couvre-feu a été repoussé à 01H (du matin) spécialement pour l'occasion. Vivianne et le corps professoral sont au courant du déroulé de l'événement et jugent qu'après tant de tragédies, une fête ne fait pas de mal. Certains professeurs ont même décidé de se joindre à la fête (ils étaient invités, après tout).
Déroulement Vous êtes tous invités à poster dans ce sujet général pour annoncer l'arrivée de vos personnages. Vous pouvez ensuite partir vaquer à vos occupations personnelles dans des sujets en petit comité.
ATTENTION Si vous pouvez effectivement choisir d'ouvrir d'autres sujets, la promiscuité du lieu (bon, c'est pas non plus une boîte de sardines) fait qu'aucun ne sera privé. Vous êtes donc tous libres de vous incruster où bon vous semble.
Qui n'est pas présent Vivianne, Nobunaga, Luther King, Mendeleïev, Marie Antoinette. Tous les autres PNJs/personnages peuvent être présents et être cités dans vos messages.
Pour plus de clarté Mettez l'heure de votre RP dans le titre de votre sujet. N'oubliez pas que la soirée commence à 20H et se termine aux alentours de 01H.
Ven 3 Mai - 0:55
Valentina Chesanova
Admin
Pseudo : Olesia
Avatar : Morena Baccarin
Crédits : praimfaya (av.)
Messages : 413
Points : 617
C'est plutôt satisfaisant, de voir des heures de travail se concrétiser. Même si ce n'est pas pour sauver le monde. Même si c'est juste une fête. Ça fait plaisir. Les sourires, les reflets d'Amérique du Sud, les cocktails de Tango, ... L'insouciance. Pour une soirée, ces jeunes adultes ne sont plus l'avenir du monde. Ils sont eux. Simplement. Après toutes les tragédies essuyées, ils méritent de souffler.
Un verre plein à la main, Che Guevara s'installe dans un coin de la pièce, pour qu'on ne puisse absolument pas la rater depuis l'entrée. Un sourire fend les lèvres tandis qu'elle fredonne un air en portugais. Son regard polisson traîne partout, sur toutes les figures et toutes les courbes, dans les recoins sombres et moins sombres, au bar et au vestiaire. Un clin d’œil ravageur est adressé à Tango, un autre à Jeanne d'Arc, et puis encore un autre à Cardinal. Elle se nourrit de l'atmosphère, respire le stupre et les relents d'alcool qui s'apprêtent à couler.
Elle a l'air d'attendre, aussi. On ne sait pas quoi. Ou qui. Elle attend. Quelque chose, ou quelqu'un. Un moment ou une action. Peut-être bien quelqu'un, alors.
Elle ne devrait pas être là. Non, non, non... Voix maternelle le lui souffle, quel genre de sottise est-ce ? Tu es une fille de bonne famille, pas une traînée dépravée. Belgrade l’ignore obstinément. Elle a enfilé la robe gracieusement prêtée par Zaniah, l’américaine qui seule fait honneur à sa délégation d’imbéciles, dans la salle de bain des Castelobruxo. Zaniah qu’elle ne lâche plus, qu’elle suit comme un animal fidèle et rendu craintif par les bruits, les odeurs et les couleurs criardes. Son myocarde bat la chamade, perdu, affolé. Pourquoi est-elle là ? Ils vont boire, s’amuser, s’affoler sur des refrains entraînants pendant qu’elle reste plantée aux côtés de la blonde, à se demander si elle devrait tremper les lèvres dans ce punch peu rassurant.
Ses yeux tombent sur Che Guevara, qui semble parfaitement dans son élément, puis s’évadent aussitôt. Cette femme semble être son anti-thèse, et si ce sont ses élèves les instigateurs de cette folie, alors il n’y a pas à douter ; elle se complaît dans leurs déboires. Les doigts nerveux lissent le tissu de la robe d’un rouge sombre, gênée qu’elle est par la coupe qui en dévoile un peu trop et surtout, le dos nu. Elle voudrait attraper le bras de Zaniah pour être sûre de ne pas la perdre dans la foule, mais n’ose surtout pas. Pas assez proches. La slave a honte d’être si peu à l’aise dans ce monde inconnu, différent des quelques festivités qu’elle a déjà arpenté. Quant une main l’agrippe et l’entraîne plus loin, elle ne peut que laisser faire avec un soupire surpris, disparaissant déjà du champ de vision de l’américaine.
Ven 3 Mai - 1:51
Capoeira
Pseudo : Anapa
Avatar : Joan Smalls
Crédits : Bibi
Messages : 45
Points : 57
Qu'est-ce que j'fous là putain.
Réponse : j'avais oublié c'te fête à la con. Non mais sérieux. Ca chiale toutes les cinq minutes, ça baise dans tous les coins, et maint'nant ça fait des fêtes. Dans un dortoir. Z'auraient pas pu aller faire chier dans l'hall ou j'sais pas, loin ? J'aime pas qu'y ait du monde dans ma pièce. Ouais on est plusieurs à dormir là mais c'ma pièce, ma maison, à moi. Chier.
Quand j'ai débarqué c'était d'jà trop tard pour fout' le bordel et tout l'monde dehors, alors j'me suis calée dans un coin avec mes sapes du jour qui schlinguent, jean et T-shirt en coton bête et méchant, ma baguette, et mon r'gard qui tue de chat vraiment, vraiment pas content. Si j'étais un chat, là, j'serais toute hérissée et en train d'grogner... l'étape juste avant "j'vais t'niquer ta race et ta mère et ta soeur" quoi.
J'aime bien la musique. OK. Trop forte mais j'aime bien. J'me détends un poil j'crois, même si j'tire toujours une gueule de six mètres dans mon coin, bras croisés. Y a des moments où j'tape du pied par terre en rythme, mais qu'y comptent pas sur moi ni pour danser, ni pour boire ou bouffer quoi qu'ce soit. Comme si j'savais pas comment ça s'passe.
Z'ont l'air contents au moins. Même Guevara a l'air contente. J'aurais attendu un peu plus d'sérieux d'la part des profs. Tant pis, moi j'fais la gueule et j'emmerde tout l'monde. S'ils sont pas contents z'ont qu'à aller s'murger ailleurs, genre chez eux. Ou dehors. Loin.
Ven 3 Mai - 2:55
Vidame
Avatar : Rayane Bensetti
Crédits : Bazzart
Messages : 111
Points : 183
Sorry for party rocking. Y'a rien à dire, les soirées de samedi soir, souvent ça te déçois Vic. Alors tu flambes, tu décides de briller comme un miroir de bordel, à ce genre de fête où on est tous conviés. Heureusement que ton bro Alcy t'as dépanné de deux trois frusques, enfin même d'un tas de trucs qu'il n'a pas trop envie de porter. La veste est dorée et aux doublures noires sur les manches, chaussures à pointe en daim, bien que tu supposes que ce ne soit pas au chocolat. Pantalon à pinces, tu rentres en boîte et en soirée échangiste, c'est pas les latinos qui vont se permettre te recaler à l'entrée. La chemise est blanche pour honorer ton nœud papillon, ta chaine en or aux maillons épais relève ton style, un bandeau noué à l'arrière de ta tête est la monture à laquelle tu as serti ta casquette du Wati B, sauvée des flammes car elle trainait dans ton vestiaire de Quidditch. Tu l'as mise en travers, tu es rebelle et raffiné, conscient de tes forces, de tes faiblesses et de ta vulnérabilité. Ouais ça, c'est au cas où une legilimens passe, elle tombera sous le charme et connaîtra tes fantasmes. Il aura fallu quelques secondes à peine pour que tu t'empares d'un verre de punch, avant de fouiller la sale tamisée du regard. Le genre d'endroit que les vrais bros peuvent partager, un terrain de chasse pour les grands prédateurs, une soirée où les culottes vont voler rapidement. T'as gardé ta baguette dans ta poche intérieure, parce qu'on sait jamais quel mec bourré va proposer un duel à un moment de la soirée. Souvent c'est toi en plus. Et tu vas éviter de relancer une bagarre avec une banane comme seule arme. Quelques sonorités commencent à résonner et tu te déhanches de quelques pas comme sur un tube de Keen'V en un peu moins bien. Et pis Sean Paul, c'est un peu comme son fils spirituel nan ? Peu à peu ton regard louche sur Tango. Visiblement, elle aime se faire belle, elle aime briller la night, elle aime les éloges et quand les hommes la remarque. Ce soir, c'est sur elle que tu vas mettre ton véto. Tu te diriges donc vers le comptoir, sapé comme jamais. Prise de pose avantageuse, tu lui lance un regard brûlant avant de l'apostropher :
" Hey ma belle ! Tu m'as l'air d'être la fille la plus intuitive de Castel, alors je vais te lancer un défi. Fais-moi un coktail qui correspond à qui je suis vraiment. Si tu réussis, t'auras le droit à une danse de ton choix avec moi. Même la Carioca. "
Tu termines ta tirade avec un clin d’œil appuyé vers elle. La grande chasse est commencée, le combat sera barbare, mais tu seras le héros de la nuit d'une d'entre elles, autant choisir la plus canon. Et pis elle s'est bien une des seules qui ne t'as pas encore recalé, avoues le. Pis ça t'occupera jusqu'à l'arrivée de Sherry, d'Alcy ou de Cha Cha. T'as un concours de Beer pong de prévu avec eux. Si ça se trouve, y'aura des outsiders, mais personne n'aura le niveau. Même si du coup, ce sera plutôt du Punch Pong. Et ça, c'est lourd, ça met des claques, ça fait mal, ça fait mal. Heureusement ton flow est coupé au bicarbonate, il te manque juste une banquette arrière. Mais t'as pas pu amener ta gova sur l'astronef.
Spoiler:
Ven 3 Mai - 7:41
Cardinal
Pseudo : DELPH
Avatar : JEON JUNGKOOK
Crédits : KELLY (AV)
Messages : 286
Points : 268
Party rock is in the house tonight. Everybody just have a good time, and we gon' make you lose your mind, everybody just have a good time. Party rock is in the house tonight, everybody just have a good time, and we gon' make you lose your mind, we just wanna see you shake that ! (@lmfao // beerus)
party hard.
Cardinal ne devrait pas se rendre à la fête, mais il n’a pas pu se retenir quand il avait entendu qu’elle avait été organisée par sa délégation favorite. Il avait invité Varsovie à venir avec lui, voulant savoir comment sa mission s’était passée, mais aussi, passer un moment avec elle. ♡ Habillé d’une chemise hawaïenne, son cou est recouvert de pansements colorés, tout comme ses coudes et ses genoux, pour ne pas changer des bonnes habitudes. Il porte aussi un collier de fleurs, pour ajouter une touche exotique à sa tenue. La main de son amie est dans la sienne, mais il ne retient pas un sifflement impressionné en regardant autour de lui. Les lieux avaient été parfaitement aménagés, avec des lumières, des pistes de danse, de la musique et un bar. Sa professeure favorite, Che Guevara, se trouve dans le coin de la pièce, et il la salue, sans cacher sa bonne humeur, heureux de la revoir en pleine forme.
Bon, ce n’est pas vraiment l’ambiance que l’oiseau affectionne et il ne compte pas boire, la veille de son départ pour l’Afrique du Sud. Par contre, il repère les tranches d’ananas sur le bord des bols, grâce à sa vue supersonique. ♡ « Attends-moi deux secondes. » dit-il à Varsovie. Cardinal se dirige vers le bar, où Vicaire lance un défi à Tango, voulant un cocktail qui le représente. Cardinal, comme un cheveu sur la soupe, s’invite pour donner son commentaire. « Ami Corse ! Boum ! Boum ! D’ailleurs, Vicaire, tu as vu, je suis avec Varsovie ! Je vais faire comme tu m’as dit, je vais tout défoncer et appliquer tous tes conseils ! » Il parle vite et avec enthousiasme, mais il aurait vraiment dû choisir un meilleur coach amoureux. Se souvenant soudainement de la raison pour laquelle il se trouve ici, Cardinal se tourne vers Tango, lui faisant son plus beau sourire. « Moi, je suis juste venu pour les ananas. » lui dit-il, tout en piquant deux morceaux sur le bol de punch. « Par contre, la festa è superba ! » C’est de l’italien, pas de l’espagnol, mais on pouvait l’applaudir pour l’effort. ♡
Le jeune homme retourne vers Varsovie pour lui donner une tranche. « Ce n’est pas de la pâte de fruits, mais c’est presque aussi bon. » Mordant dans l’ananas, Cardinal bascule la tête en arrière, sans cacher son appréciation, comme il le faisait quand il mangeait quelque chose qui lui plaisait. « Est-ce que tu veux boire quelque chose ? Chanter ? Danser ? Je suis un très bon danseur, je sais faire la macarena, la danse des canards, le caramelldansen, le gangnam style et toutes les danses de Fortnite. ♡ » Comme pour prouver son point, il commence à se dandiner et faire la Orange Justice, tout dans l’espoir d’impressionner la plus jolie des capitales.
La soirée n'a pas déjà commencé que le monde est flou autour de lui. Comme s'il avait ingurgité des litres de punch avant même d'avoir franchi la porte. Oh, il est parfaitement de conscient de cet état étrange et son esprit retors s'agite encore assez vivement - assez, en tout cas pour rester un minimum sur ses gardes - mais c'est comme si tout cela - le danger, les morts - n'avait plus vraiment d'importance... Le retour de Vivianne aurait dû le remettre d'aplomb, mais, au contraire, comme si son corps subissait le contrecoup de ces semaines passés dans le repli et le silence, il se sent toujours aussi épuisé. Épuisé et... euphorique, empli de cette euphorie qui accompagne les états les plus extrêmes.
Il n'aurait, normalement, pas assisté à cette soirée. Pas son genre. Ou alors, il y serait venu et serait resté à l'écart des autres, se faufilant entre les groupes, laissant juste traîner ses oreilles pour obtenir, on ne sait jamais, quelques informations laissées échappées par l'abus d'alcool. Mais en fait, là, ce soir, il n'est venu que pour une seule chose : oublier. S'il doit se noyer sous le punch ou s'éclater sur la piste de danse, ou se faire tuer par le ridicule, cela n'a plus vraiment d'importance.
Il est presque débraillé. Le Corbeau, d'habitude toujours tiré à quatre épingles, porte une chemise blanche froissée, un peu trop ouverte. Son pantalon noir et moulant rappelle la finesse de ses muscles. Ses cheveux, ébouriffés, lui tombent sur les yeux - et les cernes. Il devrait avoir honte, car on ne l'a pas élevé comme ça. Mais il s'en fiche.
Ça n'a plus grande importance. En tout cas, plus ce soir.
Appuyé contre le mur, pas loin du buffet, l'Oiseau se prépare à la danse. Quelques silhouettes familières passent devant lui, mais il hésite à les aborder. La soirée ne fait que débuter.
(H.S : N'hésitez pas à aborder le petit Corbeau, ça risque d'être rigolo étant donné son état ! <3)
Sam 4 Mai - 3:04
Vidame
Avatar : Rayane Bensetti
Crédits : Bazzart
Messages : 111
Points : 183
Dis leur à tous qu'ici c'est toi qui fais la loi. Tu hoches la tête en lançant un clin d'oeil à la belle Latina. Tu sais qu'elle a compris que tu ne te dégonflera pas, on ne peut pas couler un navire qui dans les airs navigue. Elle se retourne pour préparer ton verre, tu mates ce boule qui vaut de l'or. T'y plongerais bien vingt-cinq fois par jour jusqu'à ce que la go appelle au secours, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Tu hausses un sourcil en voyant le piment entier glisser dans le liquide mais tu ne crains rien ; déterminé, tu pars au front sans armure, et les élèves les plus terre à terre auprès de toi pensent probablement que tu fonces dans un mur. Tu prends le verre en main, en hume le parfum presque agressif avec l'air d'un œnologue, mention complémentaire cuite aux alcools de mauvaise qualité, comme quand tu faisais des tours dans l'quartier :
"Tu sais, j'pense pas que ça me fasse grand chose. J'ai été deux semaines en vacances en Guadeloupe, je ne crains plus le piment. A la tienne ma belle, et à notre duo."
Après un petit mouvement de bras dans les airs, comme pour trinquer avec le verre imaginaire de la barmaid, tu enquilles le verre, pensant bien à ne pas respirer, laisser le moins possible passer le liquide sur ta langue. Après tout la cuite débile, c'est ton rayon nan ? Tu avales le début cul sec, mais dès la première seconde, c'est comme un brasier ardent qui vient t'assaillir. Une gorgée, c'est l'enfer, deux c'est la résurrection sur le chemin de croix. Tu reposes violemment le verre après seulement le premier tiers, manquant de le renverser. Bordel, tu veux rester fier mais ça te brûle comme cent tisons ardent sur ta langue, et tu te jette loin du bar, sans même observer les réactions alentours. Écarlate, tu charges, le chemin le plus rapide vers les toilettes étant la ligne droite, tu avances, non sans bousculer violemment Corbeau sur le chemin. Pas le temps de t'arrêter ou de t'excuser, l'acidité monte dans ta gorge, ta bouche se remplit du mélange de bile et de tes repas précédents mêlés et partiellement digérés. Même pas le temps ou la conscience d'esprit d'en vouloir à la sud-américaine, mais tu lui tireras une balle dans son crâne à l'occase, et tu t'engouffres dans l'entrée des sanitaires pour te jetter dans une des cabines. Si quelqu'un veut s'asseoir sur le trône, faudra qu'il s'asseye sur tes genoux.
( HS : Suite du RP Vomi dans le sujet dédié. )
Spoiler:
1-5 : Facile, et ça a glissé le long de l’œsophage bien lubrifié. Easy Win. 6-20 : Mec, ça pique. Fort. Tu douille, mais tu restes droit, cheval de troie. 21-40 : Chaud, chaud, chaud, tu vas devoir réclamer un truc pour faire passer. 41-65 : Des larmes coulent sur ton visage, tu attrapes le premier verre qui passe pour survivre. 66-85 : Tu tentes de tenir. Cinq héroïques secondes. Puis tu cours rapidement aux toilettes pour vomir boire le maximum d'eau 86 -98 : La vache, tu vas aller vomir aux toilettes. 99-100 : C'est sur place que tu vomis.
Sam 4 Mai - 3:04
Vivianne
Admin
Pseudo : Staff
Avatar : Famke Janssen
Crédits : ironshy
Messages : 735
Points : 1578
Le membre 'Vicaire' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé 100' : 92
Sam 4 Mai - 11:05
Mary Read
Avatar : Mads Mikkelsen
Messages : 202
Points : 342
Party hard ? Really ?
Si quelqu'un était dans un état assez décent pour pouvoir s'exprimer et ouvrir la bouche sans rejeter la quantité d'alcool ingurgité précédemment, Read aimerait bien savoir ce qu'il faisait ici. Les mains dans les poches de son costume gris anthracite, l'anglais zigzaguait entre les étudiants, évitant avec agilité les quelques accidents qui risquaient d’abîmer son costume.
Qu'avaient ils dit ? "Va au moins y faire bonne figure une heure" Il y était maintenant, et effectivement, il ne comptait pas rester plus d'une heure. De là à dire qu'il faisait bonne figure, il y avait une énorme différence.
Il fusillait du regard quiconque s'approchait de lui d'un peu trop près et regardait d'un air assez condescendant ceux qui avaient déjà cessé de marcher droit. Comme Vicaire.
Aucun verre à la main (aucun alcool de qualité à vue), il soupira. Il n'avait pas survécu aux soirées poudlariennes pour se retrouver ici.
Discrètement, il commença à se rapprocher de la sortie. Cela ne faisait que dix minutes qu'il était là, mais bon...
Sam 4 Mai - 13:00
Pollux
Pseudo : Champifeuille, Champi.
Avatar : Aaron Taylor-Johnson.
Crédits : Beylin (avatar) & Anaphore (signature).
Messages : 330
Points : 389
Sam 4 Mai - 16:58
Tango
Avatar : Christina Nadin
Crédits : AILAHOZ
Messages : 127
Points : 191
Sam 4 Mai - 18:54
Pollux
Pseudo : Champifeuille, Champi.
Avatar : Aaron Taylor-Johnson.
Crédits : Beylin (avatar) & Anaphore (signature).
Messages : 330
Points : 389
Sam 4 Mai - 18:54
Vivianne
Admin
Pseudo : Staff
Avatar : Famke Janssen
Crédits : ironshy
Messages : 735
Points : 1578
Le membre 'Pollux' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé 100' : 6
Sam 4 Mai - 22:53
Brynhild
Pseudo : Poziomka
Avatar : Ashley Benson
Crédits : Poziomka
Messages : 228
Points : 409
Varsovie passe la porte du dortoir des Castelobruxo au bras de Cardinal. Elle a emprunté une robe à Zaniah, puisque le peu de vêtements qu’elle avait était parti en fumée dans l’incendie de leurs dortoirs. Elle n’a pas vraiment envie de faire la fête ce soir, elle aurait largement préféré se coucher tôt et récupérer de la fatigue de la mission et des récents événements. Mais elle est quand même là, d’autant plus que son oiseau préféré l’a invitée et est même passé la prendre en bas du dortoir des Américains. Elle l’a complimenté sur son choix de vêtements et sur son magnifique collier à fleurs. Elle remarque même que le bleu de sa chemise est parfaitement accordé à celui de sa robe à manches longues, ce qui ne manque pas de la faire sourire.
A peine arrivé, Cardinal s’excuse pour deux petites minutes et file vers le bar. Varsovie y aperçoit Tango qui s’affaire à préparer des cocktails. Au loin, il y a Zaniah avec Belgrade. Elle leur adresse un sourire, mais il n’y a que l’Américaine qui la voit. La slave parcourt rapidement le reste de l’assemblée, à la recherche de Minsk ou de n’importe quel autre membre de sa délégation, mais déjà Cardinal revient vers elle. Elle attrape l’ananas qu’il lui apporte, et croque dedans avec plaisir. Il n’y a pas d’ananas d’où elle vient, ou alors ils n’ont aucun goût. Pas comme celui-là, dont la chair est juteuse et sucrée à souhait. « Tu as raison, c’est délicieux ! La prochaine fois, on pourra essayer une pâte de fruit à l’ananas ! » Probablement que ça a déjà été fait, mais rien que la perspective de passer à nouveau du temps dans les cuisines avec Cardinal allège son cœur. Et le regarder danser a le même effet, d’ailleurs ! Elle ne peut retenir un rire de plaisir devant cette chorégraphie qui lui est inconnue. Elle a peut-être déjà entendu le mot macarena, mais elle ne saurait à quoi le raccrocher. Et tout le reste ne lui évoque strictement rien. A part carameldanse-quelque chose, puisqu’il y a le mot caramel. « D’habitude, moi je préfère chanter. Mais je connais pas de chansons latines, alors je veux bien que tu m’apprennes à danser ! Ce que tu veux, c’est toi le professionnel ! » Et elle se laisse entraîner dans la danse de l’oiseau. Peu importe s’ils ne sont pas en rythme, peu importe s’ils ont l’air ridicule aux yeux des autres. Zaniah serait fière d’elle, ou est fière d’elle si elle la voit maintenant. Varsovie veut s’accorder ce moment de plaisir simple et presque enfantin, sourire aux lèvres.
Au bout d’un moment, elle laisse tomber les bras le long de son corps, essoufflée. « Pause ! » Elle reprend une respiration normale, doucement. Du coin de l’œil, elle voit Minsk près du bar. « Je vais nous chercher à boire ! Je peux essayer de te préparer un cocktail ? Sans alcool, évidemment ! » Et la jeune fille s’élance vers le bar, prête à en découdre avec les boissons pour faire le meilleur cocktail sans alcool, qui soit digne de Cardinal. Elle s’avance vers Tango, s’acoude à côté de Pollux. « Tango, est-ce que tu me laisserais passer derrière le bar ? Cardinal aimerait un cocktail et j’aimerai beaucoup lui préparer moi-même ! ♡ » Elle arbore son sourire d’ange, si innocent. La sud-américaine connaît son amour pour les potions, alors elle est sûre qu’elle ne pourra pas lui refuser le plaisir de préparer un cocktail pour son oiseau préféré !
C’est d’une alcôve que Belgrade s’extrait soudain, retrouvant l’air suffoquant de la pièce principale et le chaos qui y règne. Chaos, il n’y a pas d’autres mots pour elle, rien qui puisse décrire ces gens qui grouillent pas dizaine, se tortillent et s’agitent, ces lumières qui agressent sa vision et ces relents d’alcool, entre autre chose. Un instant, elle se fige, incertaine sur la marche à suivre. Elle n’a pas le droit de prendre totalement la fuite. Elle se doit d’être présente ce soir, jusqu’au bout de la nuit, ou sa parole n’aurait plus aucune valeur.
Ses mains tremblent. Ne pas rester plantée là. L’autre va sortir dans un instant, à son tour, et peut-être tenter de la retenir. Alors elle bondit en avant sans réfléchir d’avantage, ses pas mués uniquement par la panique. Prendre l’air est une perspective attirante mais elle peine à retrouver le chemin vers la sortie. Les premiers visages familiers qu’elle aperçoit sont ceux de Minsk et Varsovie ; jamais Bel ne l’admettrait, mais les slaves sont devenus des points de repère pour elle, une famille où elle n’a certes pas tout à fait trouvé sa place, sur laquelle elle peut cependant compter plus que sur n’importe qui d’autre sur l’île. Alors elle s’approche, se frayant un chemin entre les trop nombreuses silhouettes. Elles sont juste là, à quelques mètres, mais Belgrade va trop vite et ses pas sont confus.
Le choc est inévitable. Le corps de Pollux, massif comparé à celui de Belgrade, la réceptionne sans peine ; c’est à peine s’il trébuche à son contact. Elle, en revanche, est obligée d’enfoncer ses ongles dans le tissu pour ne pas valser. Face à face, impossible pour l’américain de ne pas remarquer le rouge de ses yeux, les quelques sillons laissés sur ses joues. Les larmes sont fraîches, peut-être rapidement effaçées par un geste de la main. Reste un petit quelque chose dans le regard et dans la manière incertaine de retrouver son équilibre, alors qu’elle s’écarte de manière précipitée.
« Pardon. J’aurais dû regarder... »
Elle se déteste pour cette voix qui flanche, finissant d’en révéler infiniment trop. Fuir. Immédiatement. Les excuses sont avortées, et la voilà qui amorce un demi-tour complet. Vite, elle doit s’extirper de là, cacher sa faiblesse par tous les moyens possibles avant que la moitié des invités ne s’aperçoive que la terrifiante Belgrade a daigné montrer chagrin.
Azur scrute la foule, note les visages et surtout les expressions, cherche rivage mordoré qu’il n’arrive déjà plus à trouver. Quelques minutes pour perdre Skopje avec qui il vient pourtant d’arriver, c’est un record et ça l’inquiéterait presque s’il ne venait de rencontrer un autre visage qui étire sourire, ennuyé, plus âgé. Regard vers le bar il n’y a rien ici que cet homme-là boirait avec plaisir et c’est tant mieux, ça lui évite de traverser deux fois la pièce encombrée. D’un pas assuré il rejoint le jupiter sévère, magnificence miroir dans les deux silhouettes élégantes. « Si vous voulez fuir allez-y, je dirai que vous étiez avec moi. » L’astre lance dans un léger rire un brin euphorique en rejoignant @Mary Read, assez proche pour qu’il puisse l’entendre par-dessus la musique. Lèvres étirées en coin il continue de s’approcher jusqu’à pouvoir chuchoter, juste pour l’enseignant, pupilles anormalement dilatées depuis qu’il est entré et charme fantastique qui pointe dans tous les mots et tous les gestes sans qu’il s’en rende compte, sur lequel il semble pour la première fois n’avoir aucun contrôle. Nulle trace d’alcool ou d’autre produit dans son attitude pourtant, le bleu aqueux ne présente pas la moindre striure écarlate et même au milieu des parfums en pagaille dans la pièce bondée on peut sentir la lessive de ses vêtements en étant suffisamment près.
Mar 7 Mai - 22:24
Mary Read
Avatar : Mads Mikkelsen
Messages : 202
Points : 342
Party hard ? Really ?
Ennui et amusement distant : tous semblaient s'agiter avec férocité, drame, plaisir, douleur. Leurs humeurs étaient tellement... vive. Il avait été comme cela aussi. Enfin, il en avait le souvenir (et quelque part, il remerciait Merlin qu'aucun enseignant poudlarien de sa génération ne se trouve à l'Astronef).
Et aujourd'hui, il avait trouvé un recoin légèrement à l'écart où il avait une vue admirable sur ce que la salle faisait. Mouvements, paniques, alcool. Il n'était qu'à quelques mètres de la sortie quand une tête blonde connue se dirigea vers lui. Il se tourna alors vers Alcyone et l'attendit.
Merci pour l'alibi, mais la curiosité l'emporte : je vais rester quelques minutes de plus.
L'étoile semblait plus... vélane encore que d'habitude. Ses yeux bleus étaient grands ouverts alors qu'il se penchait vers lui pour lui souffler quelques mots. Mary Read baissa légèrement sa tête pour accueillir sa confidence avant de jeter un léger regard vers l'assemblée.
Entendu.
Son regard revient sur celui d'Alcyone. Silencieusement, il scrute l'américain. Il n'est pas comme à son habitude.
Mer 8 Mai - 0:25
Alcyone
Pseudo : ALRUINE.
Avatar : NEELS VISSER.
Crédits : NYMPHEAS.
Messages : 395
Points : 202
Le sourire chaud s’élargit à la réponse de l’enseignant, alors le prince des Ilvermorny reste aussi près même s’il a fini de chuchoter. Ses doigts tremblent un rien et il les enfonce dans ses poches pour les empêcher d’accrocher le bras de l’olympe, avant de lancer, d’abord calmement puis de plus en plus vite. « C’est difficile de parler ici, on entend plutôt mal, et puis si vous continuez à froncer les sourcils à la vue de tous ils vont commencer à se demander s’il vous arrive parfois de vous détendre ; alors je suis certain que vous en êtes capable, mais les autres, vous savez. Déjà qu’ils vous trouvent terrifiant, ces imbéciles, alors que le bon mot serait plutôt fabuleux, enfin voulez-vous sortir peut-être, je ne pense pas qu’il y ait un endroit vraiment calme à l’intérieur, c’est comme vous préférez, monsieur, comme vous voulez, je.. Il enchaîne presque sans respirer, sans réfléchir sûrement les mots s’alignent beaucoup trop vite et soudain il fronce les sourcils. Je vous l’ai déjà dit je crois. » Un peu plus bas cette fois, la réflexion s’imprime brièvement sur les traits avant d’en être aussi vite chassée. Ça dégouline, ça déborde même presque, l’azur scintille à outrage, presque liquide, et la peau serait brûlante si on venait à la toucher, le débit ultra rapide est presque aussi caressant. L’étoile ne maîtrise plus rien et ça se voit à moins qu’il n’ait choisi de son plein gré d’éclater toutes les digues soigneusement érigées. Don perfide en roue libre. Il passe une main dans ses cheveux trop dorés, trop doux, nerveux ou parfaitement assuré, plus rien n’est trop pour lui maintenant alors même le dieu des orages, qu’est-ce que c’est. Une chance qu'ils soient tous deux dans un coin peu fréquenté, il vaudrait vraiment mieux éviter de le regarder pour le moment.
Mer 8 Mai - 12:21
Mary Read
Avatar : Mads Mikkelsen
Messages : 202
Points : 342
Party hard ? Really ?
Le discours - le monologue - que lui sorti Alcyone était relativement surprenant. Read leva un seul sourcil, étonné par l'inépuisable remarque du jeune blond. L'enseignant voulu sonder le regard de l'américain, avant de conclure que c'était une mauvaise idée. Il sortit les mains de ses poches de costume et répondit à l'étoile.
Oui. Sortir est une bonne idée.
Tranquillement, il posa sa main gauche sur le haut du dos d'Alcyone afin de diriger l'étudiant vers la porte. S'échapper du lieu principal de la soirée était définitivement une bonne idée : outre la musique qui semblait souhaiter le décès de ses tympans, le jeune étudiant préférait peut être s'écarter avant de devenir réellement trop bavard.