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American squad (+le ficus ♡)

 :: this is not the end :: zone 3 - Les serres Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Lun 3 Juin - 22:03
Pollux
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American squad (+le ficus ♡)
Youpi ! C'est la fête ! On va tous crever, on va tous crever, Y'a la fin du monde qui nous guette et nous on fait la fête ! On va tous crever, on va tous crever, La fin du monde nous attend et nous on fait la fête tout l'temps !

Il en a marre, l’américain. Marre, putain. Il réussit à voler quelques minutes d’un bonheur précieux qu’il n’avait jamais espéré toucher du bout des doigts, il espère que ça durera pendant quelques minutes encore, et finalement, tout se brise. Parce que ses envies de fuite ne sont pas partagés. Et nous, alors, a-t-il envie de demander au slave, tu préfères la mort plutôt que nous ? Mais il ne l’a pas fait. Parce que c’est égoïste, et Pollux, malgré le fait qu’on lui répète qu’il doit penser à lui avant de penser aux autres, n’arrive pas à le faire. Il est fâché. Il est salé. Vraiment. Mais il comprend. Fuir aujourd’hui pour combattre demain est la technique qui lui a permis de survivre et de se protéger. Il l’aurait fait, vraiment. Mais ce n’est plus possible, parce que si avant, il n’avait personne, maintenant, il a une famille, partie se battre, et il doit les accompagner. Zaniah, Altaïr, Luther King. Odessa. Sa main presse un peu plus celle du slave. Il l’a attrapée en quittant Ilvermorny, et ne l’a pas lâché. Un regard trop sombre avait été le seul reproche que l’américain avait pu faire à l’ukrainien. Encore une fois, le message était clair. Je fais ça pour toi. Il faisait toujours ça pour lui, de toute manière.

La prof de runes ne pèse rien sur son dos. Une plume insignifiante, à peine plus lourde qu’Onyx, qu’il avait tenu dans ses bras en quittant les serres pour la mettre à l’abri. En quittant les dortoirs, l’intransigeante professeure avait voulu garder sa dignité, et s’était appuyée sur Luther King pour partir avec eux. Pollux avait tenu cinq minutes avant de craquer. Boadicée les ralentissait. Ils avançaient trop lentement. Alors il avait fini par s’arrêter pour prendre la directrice anglaise sur son dos, qu’elle le veuille ou non. On n’a pas le temps, avait-il tranché d’un ton définitif, et le fait que personne ne bronche, même pas Roosevelt ou Luther King, avait sans doute fait taire l’anglaise, qui avait ravalé sa fierté et qui avait accepté d’être portée. Ils avaient pu aller beaucoup plus vite, et se rapprocher des serres en silence. Après un regard partagé avec ce qu’il restait de leur délégation astrale, Rigel avait dépassé le groupe et s’était enfoncée dans les ombres tandis que sa silhouette changeait. Le groupe s’arrêta, attendant le retour de la jeune fille sans prononcer une seule parole. Et à nouveau, les doigts de Pollux pressèrent doucement ceux d’Odessa. Toi, tu restes avec moi. Maintenant qu’il s’était trouvé une étincelle de bonheur, une illusion de chez-soi, il ne comptait pas la lâcher.

Spoiler:

Au bout d’une poignée de minutes, Rigel revint, sous la forme d’un petit chat noir aux yeux verts. Animagie. Sa queue remua, une seule fois. Un mangemort dans le bâtiment. Le regard de Pollux se cisèle, se fait plus sombre. Un seul, il pourrait le gérer… Mais il n’ira pas. Il a trop de gens sur lesquels veiller maintenant. C’est peut-être égoïste, mais pour une fois, merde. Puis il n’avait aucune envie d’être là, à la base, alors il n’allait pas courir vers le mangemort. Ils pouvaient toujours rêver. Un autre que lui irait asséner le coup fatal à l’homme sombre, parce que lui, il ne bougerait pas d’ici. Et vu comment ses doigts se refermaient en prise acérée, Odessa non plus n’irait pas bien loin, à moins de briser sa poigne de fer.

Bonne chance, Odessa.
code by bat'phanie
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Lun 3 Juin - 22:05
Vivianne
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Lun 3 Juin - 22:39
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American squad (+le ficus ♡) Giphy
La scène n'était-elle pas surréaliste ? Un animagus chien qui chevauchait un loup-garou ? C'était le club canin, ou quelque chose du genre ? Bon. Boadicée essayait de relativiser, mais la situation n'était pas de nature à lui plaire. Elle serait bien mieux sur ses jambes, à essayer de suivre la jeunesse. Mais, d'après le bouclé, elle les ralentissait. Aussi n'avait-elle pas trop eu d'autre choix que d'accepter de grimper sur son dos en tentant de malgré tout garder sa dignité. Pour ce qu'il en restait. Puis bon, au pire elle pourrait dire qu'elle a serré un beau brun entre ses cuisses. Les gens comprendraient ce qu'ils voudraient. Du moins, c'était ce qu'elle dirait si elle survivait à ce sanglant épisode de sa vie, ce qui était plutôt mal parti. Au pire, elle deviendrait un forum et s'en vanterait jusqu'à la fin des temps. Cela lui paraissait être une bonne alternative.

Ce n'était plus un gang qui se dirigeait vers les serres, mais bien une équipe de rugby au grand complet, ce qui était sans doute une sage idée. Il y en avait décidément pour tous les goûts dans cette équipe hétéroclite bien qu'à forte tendance astrale. A quelques détails près, on se serait cru en colonie de vacances. Et par détails j'entends : cadavres et débris omis. C'est qu'ils arrivaient à proximité des serres, envers lesquelles Boadicée avait une rancoeur tout à fait personnelle. Un chat sorti du bâtiment, et s'il n'avait pas s'agit d'une élève Ilvermorny, seule sa bienséance aurait empêché la professeure de grogner. Etonnamment, elle avait toujours été davantage portée sur les chiens que sur les chats. Cependant, il fallait admettre que le félin avait le mérite de les prévenir d'un danger imminent. Un mangemort qui rodait. A en juger par la position de Pollux, il n'avait pas l'intention de s'avancer au devant du danger. C'était compréhensible quand on regardait le beau brun dont il serrait la main. Mais tout de même, il allait falloir faire quelque chose. Boadicée aurait bien foncé tête la première, mais à moins de talonner le loup-garou entre ses jambes et le gratifier d'un "hue Pollux !", elle n'était pas certaine d'aller bien loin. Alors, à défaut, se retenant de justesse de grommeler, elle sort sa baguette et murmure une incantation.

Spoiler:

Bon, si on lui demande, elle marmonnait. Elle est vieille, elle a bien le droit de marmonner si elle en a envie après tout.
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Lun 3 Juin - 22:39
Vivianne
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Mar 4 Juin - 0:10
Zaniah
Zaniah
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American squad (+le ficus ♡) Giphy
Esprits s'échaffaudant en une cohésion ne parvenant à satisfaire la majorité, pourtant, le groupe demeure. Famille astrale ne daignant s'abandonner en ces sombres instants, complété par la capitale brillante par l'affection voué au frère ainsi qu'aux convictions défendu, ainsi que la scintillante mère des runes ne daignant abandonner le front malgré l'état inquiétant. Objectif tout désigné que se trouvait être les serres, escadron unie en leur différence qui luttera sans jamais ployer l'échine face à la vermine.

Frère d'un côté, âme se mêlant à la sienne de l'autre, leur simple présence apaise la constellation, dont les pensées se teintes d'obscures nuances, réflexion macabre désirant noyé la raison. Doigts frôlant par instance ceux d'Altaïr, clarté indécente que retrouve fugacement l'esprit. Combat inévitable, qui pourtant n'effraie la nymphe, malgré l'ardente violence dont elle devine le sinistre présage. Réalisme fatale auquel elle a sut se résoudre, bien avant de quitter les murs réconfortants de leur maison. Abdiquation de négation quelconques vis à vis des méthodes qui se pourraient être envoyé, l'étoile à l'éclat doucereusement bienveillant n'est plus. Seul l'automate qu'on a modelé au corps même perdure; simple amas de chair destinée à servir la cause. Sentiments entravants soigneusement ignoré, congédié en d'obscur tréfonds intangibles qui ne seraient refaire surface en l'immédiat.

Lieu désiré atteint, vigilance pour tout crédo, l'amie féline revient porteuse d'une sombre nouvelle prévisible : partisan du lord noir quelques pas plus loin. Troupe demeurant immobile, opalines épousant les glaces du frère, qui ne bougera pas. Respect du désir, discussion qui ne saurait prendre place. Représentante anglaise qui semble prononcer quelques mots intangibles, au but indécis. Soviétique prisonnier de la poigne de l'étoile. Enfin, attention épousant la silhouette du dernier astre. Altaïr. Compréhension muette, chacun assurerait les arrières de l'autre au besoin. A l'ensemble de l'escadron, un rapide mouvement afin d'indiquer qu'elle déferait le premier opposant- si Merlin le voulait.

Distance réduit avec le méprisable traitre, façon de s'éloigner volontaire du groupe afin de ne trahir leur position en cas d'embuche. Amas de chair ensanglantées que l'infante épouse silencieusement, témoin d'une violence faisant vibrer son être d'une rage nouvelle. Rappel de la perte connu par sa propre personne, engendré par ces obscures personnages n'attisant que sa haine. Vengeance. Hurle l'esprit. " Avada Kedavra." Impardonnable meurtrissant les lèvres en une indifférence criante, lueur malsaine vacillant aux creux des prunelles. Au revoir, empathie troublante. Bonjour, obscur vengeance.. Lueur verte tranchant l'air, rappel d'une sombre passade assimilé aux entraînements d'autrui observé ici, afin d'assimiler le savoir  au lancer du sort, mortel. Malheureusement, la pratique absente, ou doute percent, le sortilège ne produit pas l'effet escompté--pour ne pas dire qu'il produit aucun effet du tout le con. Prunelles épousent celles d'Altaïr, compréhension qu'il s'apprête à faire couler le sang, peut être. Habitude de travailler ensemble, naturellement les doigts de l'infante s'agitent afin de former quelques dessins imprécis aux non initiés afin d'épaule son offensive. Rune de la puissance réalisée, qui accroît fugacemment les dégâts engendrés par un sortilège. Espoir d'une réussite prochaine.

Prière silencieuse qu'ils voient l'aube illuminer l'idylle chaotique, de nouveau.

Dé de la morkitu:

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Mar 4 Juin - 0:10
Vivianne
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'Dé 100' : 65
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Mar 4 Juin - 1:00
Altaïr
Altaïr
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American squad (+le ficus ♡) 01e7de2c0bb22e9c9853df6d5a59ec15d3fa31f0_hq
Les cernes marquaient le visage épuisé de l’aigle alors que tout ne faisait que commencer. Tous avançaient pas à pas vers cet affrontement inévitable. Certain désireux de combat, d’autres de protéger les désireux, chacun avançait avec ses propres objectifs se rejoignant tous à leur façon. S’en sortir vivant et défaire la menace mangemort. L’aigle s’était rapidement rangé aux côtés d’Odessa. Il ne voulait pas fuir, pas abandonner. La mort ne pouvait que les trouver s’ils entamaient une vie de fugitfs. Et tout cela pour quoi. Ici se rassemblaient tant de personne en tête de classement, s’ils ne pouvaient défendre l’astronef, leur valeur et leur rêve alors qui le ferait. Gout amer en bouche et l’envie d’en découvre, ce jeune élève pacifiste que personne n’entend ne comptait pas abandonner. Il voulait se battre et il allait le faire.

Baguette serrée au cœur de sa paume, l’américain déplaçait ses yeux dans toutes les directions possibles et imaginables afin de ne pas être surpris. Il n’avait pas les talents de runistes de ses amis, ni une quelconque capacité spéciale utile en cet instant, mais son sens de l’observation et sa vigilance allaient être ses meilleures défenses. Escadrons unis, véritable meute, les américains restants, un Durmstrang et trois professeurs dont un mal en point, chacun comptait vaincre et s’en sortir vivant. Mais si leur plan ne se déroulaient pas comme prévu, alors c’est ensemble qu’ils concluront leur chemin. Sa main libre ne cessait de frôler celle de Zaniah, âme sœur qui aujourd’hui, une nouvelle fois allait affronter une épreuve à ses côtés. Il se sentait plus fort, il voulait les voir s’en sortir, tous sans exception.

Les serres atteintes, la silhouette de Rigel perdait toute forme humaine pour ne laisser place qu’à un chat. Sans un mot, l’aigle avait suivi le félin d’un regard paisible, murmurant dans ses pensées à  son amie d’être prudente. Peu de temps après, celle-ci revenait annonçant qu’un seul mangemort ne gardait ses lieux. Inutiles d’y aller tous ensemble, cela ne ferait qu’exposé un peu plus chacun au risque d’être touché. L’aigle avait rapidement compris que Pollux ne souhaitait pas se battre, et qu’Odessa n’était pas une possibilité envisageable. Luther King avait voulu y aller. Mais elle était un atout majeur qu’il était inutile d’exposer pour l’instant, tant que les choses ne dégénèrent pas. Un regard entendu envers cette blonde qu’il connaissait mieux que personne et Altaïr avait décidé qu’il se battrait. Leur binôme ne fonctionnait qu’ensemble et il était inconcevable que Zaniah risque sa vie sans lui.

Cette raclure rapidement en vue, ainsi que toutes les victimes encore présente dans la serre, l’aigle ne montre rien mais la vue de cette boucherie fait monter en lui un désire de vengeance. Ce mangemort , il le voulait mort. La bienveillance de l’américain laissait place à une soif de sang incontrôlable. Zaniah fut la première à lancer le sort sans que rien ne se passe. Une main sur son épaule lui intimant de le laisser faire, Altaïr s’avançait encore un peu. Sortilège impardonnable peut mit en pratique ne présente pas le moindre effet. Maintenant sous l’effet d’une rune supplémentaire que l’aigle pointe sa baguette sur son adversaire. Sans la moindre pitié ni le moindre remord, Altaïr prononce de façon distincte et franche les deux mots du sortilège de la mort. « Avada Kedavra ! »

Sortilège vert jaillissant de ta baguette, entrainé par une force supplémentaire apporté par la rune de Zaniah, ce sortilège que vous faisiez ensemble en un sens frappait de plein fouet cette ordure de mangemort. Sans le moindre remord tu avais vu la mort s'emparer du corps de votre adversaire et ses yeux perdre leur dernière lueur de vie.

Lancer de dés "runes" :

Lancer de dés "sortilèges":
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Mar 4 Juin - 1:00
Vivianne
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Vivianne
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'Dé 100' : 23, 35
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Mar 4 Juin - 1:25
Pollux
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Effectivement, ils avançaient beaucoup plus vite depuis que le numéro un avait imposé son autorité et chargé l’anglaise sur son dos. Ça ne lui plaît pas, à sa collègue, il le sent bien, mais Pollux avait raison. Ils n’avaient pas de temps à perdre, et Boadicée les ralentissait. Il lui aurait bien servi de monture, mais son dos l’élançait encore. Les éclats de verre avaient été retirés, le cercle de soin avait refermé ses blessures, mais seul le temps le ferait guérir. On n’a pas de temps, gronda une voix rauque dans sa tête, lui tirant l’ombre d’un sourire. Il y avait longtemps, tiens. Peut-être était-ce l’imminence de sa mort qui faisait ressortir son vieil ami des tréfonds de sa conscience. Pour qu’ils meurent ensemble, sans doute.

Arrivés non loin des serres, Rigel se détache du groupe après un regard pour ce qu’il reste des siens, et elle s’enfonce dans la nuit. Ses contours se troublent, et un petit chat noir aux yeux verts prend sa place pour s’approcher du bâtiment éclaté. Elle est discrète, Rigel. C’est pour ça qu’elle a été recrutée. Pas seulement pour les connexions de sa famille, mais pour son talent, et son habileté à passer inaperçue. Mis à part à Ilvermorny, personne ne savait pour son animagie. C’est un secret qui s’évente, mais elle s’en fiche. A l’heure actuelle, vivre est plus important que quelques secrets de polichinelle, comme leurs prénoms ou leurs natures. Elle n’a pas besoin d’entrer dans le bâtiment pour entendre du bruit. Elle se concentre, la féline, et écoute. Un seul homme. Coup d’œil discret par une fenêtre éventrée. Du noir, un masque. Mangemort. Tout seul, pas de renfort. La petite espionne s’éloigne, et retourne vers les siens. Les profs et les américains la regardent s’avancer sans surprise. Le slave dont Pollux tient la main - Odessa, si sa mémoire est bonne - semble un peu plus surpris. Pauvre lui ; c’est le seul à ne pas savoir. Elle remue la queue, une fois, et s’amuse de voir son brillant camarade serrer la main de l’ukrainien. Lui, il n’affrontera personne, ce soir-là.

Zaniah et Altaïr s’éloignent. Roosevelt tourne la tête vers Luther King, qui hoche la tête. Va avec eux, dit son regard, je reste ici en renforts. Ça lui faisait mal, à l’intrépide guerrière, de rester en arrière et de laisser des enfants se battre. Mais il fallait qu’ils restent prudents. Sa main se tend, tapote l’épaule d’un Antarès trop tendu à ses côtés, et pas seulement à cause du combat. Il y a certaines choses que l’américain n’accepte pas, et qu’on lui met sous le nez de manière trop visible, trop provocante. Et il ne peut rien dire. Parce que quand il l’a regardée de travers, la capitale intruse qui n’a rien à faire ici, un bref grondement de Pollux l’avait ramené à la réalité. La menace était palpable. Un mouvement de travers, et je te tue. Son regard était trop sombre, trop ciselé, trop effilé, pour qu’il prenne le risque de voir si le numéro un mettrait ses menaces à exécution… Surtout parce qu’il savait, pour l’avoir vu se battre à Ilvermorny pour défendre Altaïr, qu’il en était clairement capable. Alors il emboîte le pas à son professeur, veillant soigneusement à ne pas regarder l’astre et la ville, à ne pas relever le regard d’avertissement de Pollux dans son dos.

Les deux américains entrent discrètement dans les serres. Zaniah a raté son sort, mais celui d’Altaïr claque, et touche. Roosevelt a mal au cœur, de voir ses élèves utiliser des impardonnables. Mais ils n’ont pas le choix. S’ils ne le font pas, ceux d’en face le feront. Tuer avant d’être tué. Le mangemort chancelle. Le sort de l’étoile a fait mouche, mais pas suffisamment. Il faut l’empêcher de transplaner, d’aller chercher de l’aide, de prévenir Valentina qu’il y a du mouvement dans les serres. Roosevelt et Antarès tendent leurs baguettes vers le mangemort, laissant tomber la subtilité, et l’ordre de mort claque d’une seule voix.

« Avada Kedavra ! »

Dé de Roosevelt (81):

Dé d'Antarès (79):

Mais aucun des deux sortilèges ne touche. Les pupilles d’Antarès sont dilatées par la peur. Il n’a jamais lancé d’impardonnable, et vacille au dernier moment, déconcentrant son professeur qui peut juste voir le mangemort se redresser, sonné. Empêche-le de prévenir sa meute ! Rigel est plus rapide. Le petit chat noir bondit sur sa cible titubante, passe entre ses jambes, le fait chuter, lui saute dessus, se retransforme sur le torse de l’homme pour le frapper à coups de poings, pour l’empêcher de reprendre ses esprits. Elle a toujours été une fille d’action, Rigel, alors au lieu de prendre le risque de toucher l’un des siens avec un sort, elle frappe le mangemort pour s’assurer qu’il ne prévienne personne. Roosevelt agit immédiatement. D’un geste, il pousse Antarès vers la sortie.

« Nicholas, va prévenir les autres. Maintenant ! »

Antarès hoche la tête. Son regard trop grand ouvert trahit sa peur. C’est un érudit, lui, pas un guerrier. Pas un loup, comme son prof, ou un espion, comme sa camarade. Alors il se tourne, et quitte les serres en courant. Il doit prévenir les autres, leur dire que le mangemort n’est pas mort.

Tout en priant pour qu’à son retour, aucun des quatre laissés derrière n’ait été tué.

[ HRP : le prochain qui poste (donc Odessa, ou Boadicée avec Luther King) peut intégrer un Antarès paniqué dans sa réponse et entraîner tout le reste du groupe dans les serres avant que le mangemort ne transplane, s'il le désire. ♡ ]
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Mar 4 Juin - 1:25
Vivianne
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'Dé 100' : 81, 79
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Mar 4 Juin - 16:54
Dymphna Blavatsky
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Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle était fière, King. Elle était restée en retrait tout du long, observant, analysant, laissant ses élèves prendre leurs propres décisions. La sienne avait été prise à l'instant même où le sortilège Morsmordre avait déchiré les yeux, leur rappelant à tous quel échec cuisant avait été l'Astronef. Après tout, elle ne pouvait pas fuir. Pas alors qu'il y avait tant d'âmes en péril. Derrière la froideur, la peur et l'inquiétude étaient bien présentes. Mais lorsqu'une large majorité de sa délégation avait décidé de partir au front, elle les avait suivi sans un mot, laissant l'évidence parler d'elle-même. Son coeur s'était gonflé tant de fierté que d'appréhension. L'anglaise appuyée sur son bras l'avait dit elle-même, ce n'était plus des enfants. Chaque personne présente était un adulte mature et responsable. Elle ne pouvait les protéger, elle ne pouvait que les aider de son mieux. Et c'était précisément ce qu'elle avait l'intention de faire.

Boadicée avait finalement renoncé à l'idée de marcher, ce qui n'était pas plus mal. A présent, King pouvait avancer à pas calfeutré, sa baguette à la main, prête à parer toute éventualité. Elle fermait la marche, en silence, attentive au moindre son, à la moindre image, prêt à défendre the American Squad. Et le russe. Enfin, le presque-russe. Et l'anglaise, sinon elle allait râler. Bref. Tout ce petit monde. Rigel ouvrait la marche, et King avait ralenti la sienne pour éviter d'éternuer toutes les trente secondes. Elle aimait chacun de ses élèves, mais les chats avaient toujours été son point faibles. Toujours était-il qu'avoir un félin dans le tas pouvait s'avérer utile, notamment une espionne telle que la jeune fille. Elle était revenue vers eux avec une information importante : mangemort en vue. Un seul mangemort pour tout le bâtiment ? Etait-ce leur jour de chance ou bien ... ? Peu importe, les premiers s'y engouffrent, et King demeure en arrière avec Pollux, celui dont il était manifestement entiché, et la directrice de la délégation anglaise. A cet instant, King aurait tout donné pour pouvoir se dédoubler, mais elle ne pouvait qu'attendre des infos, la gorge serrée.

Soudain revint un visage familier, celui d'Antarès, dont les yeux trahissent la panique. Il court si vite que King est persuadée qu'il va se prendre les pieds dans une racine. Arrivé à leur hauteur, il bégaie « Les autres ! Il faut les aider ! Vite ! » King est la première à bouger ; elle pose une main rassurante sur l'épaule du jeune-homme, et son regard le félicite pour sa bravoure. Puis elle se tourne vers ses alliés « Allons-y. On va devoir y rentrer à un moment donné d'une façon ou d'une autre. » Sur ces mots, l'américaine s'engouffre à son tour dans le bâtiment, et ne s'immobilise qu'une fois suffisamment proche du mangemort qui se débat avec une jeune-fille bien déterminée à le ruer de coups jusqu'à ce que mort s'en suive. « Rigel, écarte toi ! » ordonne la directrice en pointant sa baguette vers eux. L'élève s'exécute avec une rare élégance, et les mots quittent instantanément les lèvres de King « Petrificus totalus ! »

Spoiler:

Le mangemort devient aussi raide qu'une roche, mais son regard écume la haine qu'il porte aux sorciers qui l'entourent. La haine qu'il porte à ces sorciers qu'il juge pas assez pus. Ces sorciers ... qui vont l'achever et lui faire regretter d'être né.
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Mar 4 Juin - 16:54
Vivianne
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'Dé 100' : 52
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Mer 5 Juin - 20:33
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Inconfort. Il ne supporte pas de savoir que la main dans la sienne part sacrifier sa vie pour la sienne. Ce n'est pas ce qu'il veut. Ce n'est jamais ce qu'il veut. Ça le brûle de devoir renoncer au bonheur maintenant. Mais il a une âme à racheter pour pouvoir espérer pouvoir réellement y goûter un jour. S'ils s'en sortent... Si seulement ils s'en sortent, il fuit. Si la Résistance continue, il ne reste pas. Il n'a rien à y faire. Il n'a plus rien à y faire. C'est pas sa place. Il n'a pas de place.

Et puis il y a les autres. Tous les autres. Ils sont nombreux. Presque trop nombreux. Et il a l'impression d'en emmener certains vers une mort certaine. Pourtant, il est pratiquement sûr de ne pas être une réincarnation de Charon. Parce qu'il est sûr que c'est sa mort aussi, qui l'attend.  Les yeux restent fixés dans le lointain, le vague, en dehors des coups d’œil occasionnels vers son étoile. A défaut de pouvoir regarder les autres. Pourtant, il les sent près de lui. Ceux qui sont devenus des amis, par la force des choses. Ceux qu'il découvre réellement, pour la première fois.

Et maintenant, les voilà à attendre. Attendre qu'on les prévienne du danger. Attendre que l'on écarte le danger. Il déteste l'attente. C'est long. Toujours trop long. Et puis, il se sent hypocrite. Ça crie que c'est près à mourir et ça reste là, prostré, main enfouie dans une autre.

L'Astre inconnu revient paniqué. Regard décroché vers le sien. On a plus le choix, maintenant, pas vrai ? Alors ils s'élancent, rejoignent la troupe. La Mère américaine leur évite un combat trop long. Auraient-ils gagné ?

Et puis les yeux se perdent dans ceux du mangemort. Et ça fonctionne. Y a pas à dire, Maitre Jedi, quand il veut obtenir quelque chose de ses élèves, il y arrive. Il va devoir trouver un cadeau à la hauteur. Fin, si ça les aide à survivre. Parce que clairement, c'est pas comme ça qu'on dégomme du mangemort.



Oh, tiens, un deuxième arrive. Aura-t-il le droit d'y toucher, cette fois-ci ?

Et t'y vois quoi Ode ?:

Et niveau mangemorts, ça dit quoi?:
 
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Mer 5 Juin - 20:33
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#1 'Dé 100' : 13

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#2 'Dé 100' : 28
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Jeu 6 Juin - 0:09
Pollux
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Youpi ! C'est la fête ! On va tous crever, on va tous crever, Y'a la fin du monde qui nous guette et nous on fait la fête ! On va tous crever, on va tous crever, La fin du monde nous attend et nous on fait la fête tout l'temps !

Il y a des éclairs verts dans les serres, et Pollux se fait violence pour ne pas grincer des dents. Les cinq à l’intérieur sont américains, il en connaît personnellement quatre depuis des années. Les imaginer se livrer à une telle magie lui retourne le ventre. C’est la guerre ; garde tes scrupules pour quand on s’en sera sortis. Mais Antarès ressort du bâtiment, paniqué. Le mangemort, ils ne l’ont pas eu. Le groupe se précipite à l’intérieur, Luther King en tête. C’est sa délégation, à l’intérieur, elle se doit d’être là pour les protéger. Rigel, assise sur le mangemort, le frappe pour l’empêcher d’aligner deux pensées cohérentes. Sur un ordre de Luther King, elle suspend son mouvement et s’esquive agilement, sachant que maman n’attendrait pas avant de frapper. Le Petrificus Totalus de la potionniste heurte le mangemort de plein fouet tandis que Rigel se redresse d’une pirouette agile.



Pollux tourne la tête. Sa baguette glisse dans sa main et finit pointée vers un coin des serres, miraculeusement intact. Roosevelt l’a précédé, plus rapide de quelques secondes, puis c’est Rigel, Antarès, et Luther King qui font de même. Frémissement au milieu des plantes, et un adulte sort, mains levées en signe de bonne foi. Les deux profs baissent immédiatement leurs baguettes, signe que la confiance règne. Il rechigne, le premier au classement, mais un double regard en coin de ses profs le pousse à l’obéissance, et le bois de saule disparaît. Molière. Un prof français. Souvent en vadrouille, un peu bizarre, mais extrêmement loyal à Vivianne et à la cause. Et pas tout seul ; il pue le loup et le sang.

« J’attendais de voir si vous étiez amis ou ennemis avant de me manifester, commence calmement le français en baissant les mains tandis que son regard se tourne vers Antarès. J’ai besoin d’aide. Baileys est là-bas, inconscient. Capoeira lui a lancé un Avada Kedavra presque à bout portant, je sais pas comment il a fait pour le tenir. J’ai réussi à le stabiliser mais il rouvre pas les yeux. »

Antarès tourne la tête vers Luther King, qui hoche la sienne. Et malgré l’animosité qu’ils se portent, il tourne ensuite la tête vers Pollux pour lui faire signe de le suivre. Ça tombe plutôt bien ; Boadicée, sur son dos, semble trépigner depuis qu’elle sait que l’un de ses enfants est au sol. Mais heureusement, Rigel surveille où ils ne surveillent pas, et un discret claquement de langue leur apprend qu’un nouveau mangemort arrive. Pollux s’accroupit, laissant d’autres mains que les siennes descendre l’anglaise de son dos. Entre son cœur et sa raison, elle choisissait la raison. Alors Pollux se chargerait de l’anglais, promis. En passant à côté d’Odessa, il l’attrape doucement par le bras pour lui embrasser la joue, murmurant dans son oreille des mots que seul lui peut entendre. Puis il se hâte de rejoindre Antarès qui - wow stop regarde. L’américain s’arrête. Son regard se pose sur une énorme flaque de sang noir, et il ne peut s’empêcher de sourire. Prédateur. Méprisant. Vivant. Et sans prévenir, il crache dans le sang noir.

« Sang de bourbe et bête galeuse, je sais, quelle ironie, ces mots-là sortant de ma gueule, singe-t-il avec mépris. Finalement, t’auras pas bu à la gorge du loup, hein, sale clébard de merde ? »

Il ricane froidement, sans chercher à cacher ce qu’il en pense. Et sans un regard pour le sang d’Azar, il rejoint Antarès, figé devant un énorme loup-garou transformé, d’une taille pour le moins respectable. Sans s’en émouvoir, l’américain se tourne et tend une main. Pollux comprend. Ses doigts glissent dans le sac à fond indétectable, et il attrape les affaires de son camarade astral, qui les récupère sans un mot. La mallette est posée au sol, ouverte, et il s’accroupit devant, pour récupérer ce qu’il lui faut sans s’occuper de ce qu’il se passe derrière eux.

« Commence, le temps que je me prépare. Il glisse vers la mort, et je peux pas sauver des cadavres. »

Dé 1 - Pollux (20):

Pollux hoche placidement la tête. Malgré tout le mépris qu’il porte à l’étroitesse d’esprit d’Antarès, il sait que pour le coup, il vaut mieux lui obéir. C’est lui, le guérisseur. Alors il lève une main, et trace des runes de soin dans l’air. Elle chatoie d’or, avant de s’évaporer, refermant les blessures de l’anglais et du français. Mais s’il peut agir sur l’extérieur, il ne peut rien faire pour l’intérieur. C’est là qu’Antarès intervient.

Dé 2 - Antarès (60):

Il n’a pas été recruté pour sa force, Antarès, mais pour son potentiel. Médicomage de l’hôpital magique de New York, il n’avait pas hésité à tout lâcher pour rejoindre la cause quand Luther King était venue le chercher. Il avait l’habitude d’agir sur le terrain, entre les matches de Quidditch et les interventions d’Auror où il devait agir très vite pour sauver la vie des chasseurs de mages noirs. Le fait que ce soit un loup ne rend même pas les choses plus compliquées ; après tout, il en a eu sous la main pendant ces neuf semaines d’enfer, voire même un peu plus, en vérité. Sans marquer d’hésitation, il choisit une fiole, ouvre la gueule du loup-garou pour verser dedans le drôle de liquide, puis il se saisit d’alcool, de crème et de compresses pour s’occuper des blessures importantes du loup, qui se réveille en papillonnant des paupières.

« Bouge pas, j’ai presque fini, ordonne l’américain, comme inconscient du fait qu’un mouvement de pattes ferait voler sa tête. Voilà, c’est bon. Evite de bouger pendant quelques instants, le temps que la potion fasse effet. Tu vas te sentir assez mal pendant quelques minutes, mais je ne peux pas faire mieux ; c’était un Avada Kedavra, quand même. Il se relève, se tourne vers le prof. A vous, maintenant. »

Molière se laisse ausculter. Pollux, lui, garde son regard sur Baileys, et son attention sur ce qu’il se passe derrière lui, pour s’assurer qu’aucun autre mangemort ne s’est pointé, qu’ils ont les choses sous contrôle. Puis finalement, il n’y tient plus. Son regard se modifie légèrement, et son sourire s’élève, glacial et méprisant.

« On a bien fait de te laisser notre vengeance, murmure-t-il tout bas. Merci pour l’autre bâtard. Dommage qu’il ait dépop. J’me serai bien fait une descente de lit avec sa sale fourrure grise. »

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Jeu 6 Juin - 0:09
Vivianne
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C'est qu'elle commence à se sentir inutile sur ce dos, la Boadicée. Guerrière, tu parles. Cavalière, tout au plus. Et encore, ce n'était pas un cheval qu'elle chevauchait mais un loup. Louvalière du coup ? Ce mot n'existait probablement pas, mais si elle survivait à cette sombre journée, elle comptait bien se battre pour le faire adopter par le petit dictionnaire des sorciers. Mais il pensera une autre fois. Les éclairs verts qui émanent du bâtiment ont toute son attention. Ses doigts se crispent sur Pollux, et son coeur se serre. L'attente est insoutenable, tout comme le silence et l'attente qui les entoure. C'est comme ça, la guerre. Les gens imagent généralement que c'est bruyant, violent, sans cesse en mouvement, quand en vérité, on passe le plus clair de son temps à attendre. Attendre l'ennemi, attendre le bon moment, attendre le retour des éclaireurs. D'ailleurs revient soudain un astre à bout de souffle, le regard paniqué. Ils semblent en découdre avec le mangemort. Si seulement ... Lucie s'engouffre à toute vitesse dans les serres. C'est normal, ce sont les siens qui sont en train de se battre. Elle est suivie de près par le dernier couple à la mode parasité par l'anglaise (ndlr : elle me fait savoir qu'elle n'apprécie pas le terme "parasiter" mais elle devra s'en contenter). Le mangemort est dominé par une jeune-fille qui le rue de coups, et Boadicée développe aussitôt une tendresse toute particulière pour ladite Rigel. Elle n'y peut rien, elle a toujours aimé les filles qui frappaient fort. Cette dernière se recule d'un bond gracile lorsque sa directrice intervient. Le mangemort est immobilisé. Pas encore entièrement hors d'état de nuire, mais cela leur laisse un répit.



Apparaît soudain un visage familier, une dégaine particulière qui avance les mains levées vers le ciel. Molière s'avance et baragouine. Sérieusement, ami ou ennemi ? Le groupe hétéroclite qu'ils formaient ne dégageaient-ils pas une aura d'élégance et de classe que ne possédaient pas les mangemerdes ? Soit. Boadicée laisse passer. Après tout, il était vraiment que Lord Cassebonbon avait toujours su bien s'entourer, aussi le trouble de Molière était-il compréhensible. D'autant plus que les mots qui suivent glacent le sang de la directrice. Baileys. Son élève. Le temps se ralentit durant de longues secondes. Elle voit Antarès se précipiter, un regard confiant et déterminé. Il est suivi par Pollux qui semble entendre l'angoisse de Boadicée avant qu'elle ne prononce un mot. Mais un claquement de langue fait sortir la directrice de sa torpeur. Un autre mangemort. Les calculs se font dans l'esprit de l'anglaise ; elle a vu les compétences de Pollux, elle reconnait les gestes précis et souvent répété du deuxième américain -- médicomage, à ne pas en doute. « Pose-moi, vous serez assez de deux pour sauver Baileys. J'ai confiance en vous. » dit-elle dans un souffle rauque, tentant de se convaincre bien davantage qu'elle ne tente de convaincre autrui. Mais la rage bout dans ses veines. Plus que jamais. Roosevelt vient en renfort, et lorsqu'apparaît le deuxième mangemort -- sans doute alerté par la longue absence de son très cher collègue --, le réflexe est le plus fort. L'ennemi n'est pas encore proche, mais il se précipite, le masque sur son visage masquant ses expressions. Encore suffisamment loin que pour tenter de le faire danser. « Bombarda Maxima ! »

Spoiler:

Well. Baguette cassée. C'est définitif. Mais Boadicée a plus d'un tour dans un sac et lassée d'être transportée à la manière d'un sac de pomme de terre, elle reprend sa forme animale. Sur trois pattes, il lui est possible de se déplacer. Pas avec autant de rapidité qu'avant, mais en forçant un peu, elle parvient à aller vers le mangemort et à lui mordre le mollet. Même si cela n'a pas énormément d'impact, ça leur permettra peut-être de gagner un peu de temps.
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Jeu 6 Juin - 8:41
Vivianne
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Jeu 6 Juin - 21:26
Zaniah
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Paume effleurant l'échine, ordre implicite que d'abaisser le bois ensorcelé afin d'octroyer l'opportunité de s'essayer à l'offensive à l'astre complémentaire. Silencieusement, le désir est respecté, opalines balayant l'horizon afin de s'assurer qu'aucun comparse misérable ne vienne prêter main forte à l'énergumène s'opposant à eux. Rien à signaler, pour l'instant. Sortilège franchissant les lèvres du brun en une réussite admirable, bien que guère total, fait suffisant pourtant à satisfaire la constellation. Vengeance. Unique amas de syllabe résonnant en ses pensées accablés, raison prise à la gorge par la naissance de sombres désirs. Souffrance; sang. La vermine face à eux devait souffrir, payer. Souffrir comme ils avaient souffert, saigner comme ils les avaient fait saigner. Monstre grondant sous les traits angéliques. Baguette s’apprêtant à réclamer le prix du sang, qui pourtant ploie face à l'arrivée surprenante de la mère américaine. Instants s'effilant en une rapidité qui échappe à la conscience de l'étoile, dont le myocarde hurle au recouvrement de la raison; sage.


Semblant d'harmonie rompu par l'arrivé impromptu de Molière, qui signale la présence d'un anglais blessé un peu plus loin. Pollux ainsi qu'Antarés en prennent la charge. Renfort s'intégrant au groupe demeurant, face à l'ennemi nouveau s'imposant à eux. Probablement qu'il désirait aider son frère de misère. Il venait de signer son arrêt de mort. Raison qui pourtant se fait plus éclairer que les instants précédent, la décision prise est sage, l'espère l'astre. Bois sur lequel l'emprise est ferme, désignant le carotide provocante de l'opposant. « Diffindo.»

first lancer (77 -3 = 74):

Colère grondante menant l'attaque. Offensive dont la réussite se veut en demi-teinte, la précieuse porteuse d’hémoglobine rompant sous le sortilège, sans pour autant assurer que l'âme du misérable s'envole en d'autres cieux. « Expelliarmus.» Volonté de désarmé l'ignoble personnage tout juste blessé.

second lancer (67 - 3 = 64):

Le bois voulu parvient finalement entre les mains de l'infante, qui se contente de la glisser près de sa ceinture. Utilité de cette dernière qui ne serait sienne, volonté unique que de la donner à Boadicée lorsque cette dernière recouvra forme humanoïde, observation que sa baguette semblait se jouer d'elle.

Au suivant.
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Jeu 6 Juin - 21:26
Vivianne
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Ven 7 Juin - 10:47
Altaïr
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L’aigle avait frappé sa proie d’un sortilège impardonnable, qui bien qu’assez puissant pour grièvement le blesser n’avait pas eu raison de sa vie. Pourtant la volonté d’Altaïr n’avait qu’un seul but. En venir à bout. Mais l’adversaire semblait bien plus redoutable. Il aurait pu en venir à bout, tout de même mais c’était sans compter sur ses camarades, Roosevelt et Antares, merci pour votre participation, jusqu’à ce que Rigel bondissent sur l’adversaire en l’assénant de coup. Elle était comme ça Rigel, un tempérament de feu et une vivacité incomparable. L’aigle l’avait toujours respecté rien que pour sa capacité à se servir de son corps avec autant d’efficacité si ce n’est plus qu’avec une baguette. Luther King était apparu à la suite des autres, concluant ce duel à l’aide d’un sortilège des plus basiques mais des plus efficaces. C’était cela la vraie force après tout, savoir employer le bon sortilège au bon moment. L’aigle les observait tous, l’un après l’autre. Laissait de la place, pour que tous le monde se rassemble. Il n’était pas bon en groupe, il agissait mieux seule mais dans l’état actuel des choses, signerait son arrêt de mort s’il laissait son orgueil prendre le dessus.



Les événements s’enchainaient à la suite, l’apparition de Molière en quête d’aide pour sauver Bailey et l’apparition d’un autre mangemort. L’aigle n’était pas un médicomage dans l’âme, il ne leur serait d’aucune utilité alors il comptait bien garder les serres. Sortilège raté du professeur estropié, celle-ci avait changé de forme afin de lancer un assaut bien plus bestial. Temps gagné pour permettre à Zaniah d’attaquer à son tour. Suffisamment précise pour signer son arrêt de mort s’il ne se soigne pas rapidement, celui-ci tenait encore debout prêt à prendre un maximum de vie. Baguette pointé sur l’adversaire, Altair prononce une simple formule dans l’objectif d’en finir avec l’adversaire ou tout au plus le laisser se vider de son sang. "Incarcerem"

Rien ne se passe, le mangemort blessé parvient tout de même à esquiver le sortilège, gratifiant l'aigle d'un Atakunto le projetant cinq mètre en arrière avant de le stupefixer. Respiration affaiblie, douleur dans la poitrine. Pitoyable Altaïr.

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Ven 7 Juin - 10:47
Vivianne
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Ven 7 Juin - 15:51
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Un mangemort immobilisé. Parfait. Alistair respire mieux avec leur ennemi au sol. Le problème, c’est qu’un autre arrive, en même temps qu’un inconnu sort de l’ombre. La baguette de l’Auror se pointe sur le danger le plus imminent, qui est en fait Molière, blessé, qui leur demande de l’aide pour Baileys, en très piteux état apparemment. Sur un mouvement de tête de Luther King, Antarès est le premier à s’y précipiter, suivi par Pollux recruté de force par le médicomage. Parfait. Ils peuvent donc s’intéresser au mangemort qui s’approche des serres pour secourir son camarade japonais. Si le sort de Boadicée rate, ceux de la jeune américaine touchent. Le sang jaillit de la gorge du mangemort, et sa baguette s’envole, mais pas avant qu’il ait eu le temps de riposter au sortilège d’Altaïr pour l’envoyer voler cinq mètres plus loin. Antarès, tout près, se hâta vers son camarade, laissant Pollux surveiller le loup-garou, des fois qu’il devienne agressif sous le coup de la panique. Le temps qu’Antarès s’accroupisse aux côtés de l’américain, les cinq secondes du sortilège sont passées, et ce dernier se redresse doucement.

« T’as roulé dans les éclats de verre. Viens, on va se déplacer vers Molière et je m’occupe de toi, c’est dangereux ici. »

Antarès aide Altaïr à se relever, à s’appuyer sur lui, et il l’emmène vers Molière qui, baguette au poing, ne fait pas un mouvement, mais est prêt à attaquer si le mangemort fait mine de trop s’approcher des blessés, ou si l’autre se relève. Heureusement, Rigel lui a volé sa baguette, qu’elle glisse dans une poche avant de rejoindre Roosevelt en courant. Ce dernier n’ose pas lancer le moindre sort. Avec Boadicée accrochée à la jambe du mangemort, il pourrait la toucher, la blesser, ou pire, la tuer. Mais quand Rigel le rejoint, il a un début de plan, et il sait que la petite espionne l’exécutera sans broncher. Non pas qu’elle ait été conditionnée pour obéir, mais elle réfléchissait très vite, et acceptait les risques liés à ses missions. Mourir pour la cause ; certains s’en pensaient capables. Rigel, elle, savait qu’elle le ferait sans la moindre hésitation si son sacrifice pouvait sauver les autres.

« Eileen. Comme à l’entraînement. »
« Compris. »

Rigel lui tend la baguette volée, avant de partir vers le mangemort, toujours aux prises avec Boadicée, dont les crocs n’ont pas lâché sa jambe. Toute l’attention de l’inconnu est concentrée sur le chien qui lui broie le mollet, et c’est très bien comme ça. Rigel peut passer derrière lui sans soucis, surtout que l’autre s’affaiblit, avec sa carotide ouverte qui pisse le sang - terrifiant, mais bien joué, Zaniah. Finalement, elle se place. Et attend.

« Dymphna, lâche-le ! »

Rigel jaillit de sa cachette, et bondit vers le sol. En plein vol, elle se transforme, et le petit chat noir apparaît au moment où Boadicée lâche sa cible, qui recule, déséquilibré de ne plus avoir ce poids à sa jambe. Il va reprendre son équilibre, au moment où le chat noir lui passe entre les jambes. Ses bras battent l’air en une tentative désespérée de rester debout.

« Petrificus Totalus ! »

Dé de Roosevelt:

Le sort fuse, mais se perd, ne tapant heureusement personne. Rigel a bien fait sa part du travail, et le mangemort s’effondre tandis que le petit chat lui grimpe dessus pour se retransformer, et refermer ses doigts autour du cou poisseux de l’homme - de la jeune fille. C’est le cou d’une jeune fille qu’elle serre entre ses doigts, et même si elle reconnaît son visage, même si elle connaît sa voix, pour être allée en cours avec elle pendant ces neufs semaines d’Astronef, elle ne lâche pas sa prise, et, au contraire, serre encore plus fort, appuyant comme elle peut sur la carotide pour faire couler le sang, l’affaiblir, tandis que la sud-américain se débat et tente de la frapper pour la repousser. Plus personne ne peut l’attaquer maintenant ; Rigel est la seule chose qui l’empêche de transplaner pour aller chercher de l’aide.

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Ven 7 Juin - 15:51
Vivianne
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Dim 9 Juin - 1:26
Odessa
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L'aubépine levée et pointée vers la silhouette qui surgit de nulle part. Le professeur français a bien de la chance, sa manœuvre était dangereuse et irréfléchie. Il aurait pu - aurait dû s'ils étaient plus féroces, plus disposés à attaquer - être la cible de tirs croisés. La baguette repointe vers le sol. Pas assez rapide, il aurait dû lancer un sort. Et si cela avait été un mangemort ? Pourquoi hésiter ?

Les mots de l'Astre lui réchauffent légèrement le coeur. Le soutien est toujours agréable en temps de guerre, surtout lorsque les mots sont sincères. Lui ne réplique rien. Pas le temps. Pas maintenant. Pas alors que les étoiles partent sauver une vie.

Un deuxième mangemort apparait et déjà, les sorts fussent dans tous les sens. Certains ratent. D'autres touchent et le sang gicle alors. Certains se blessent et Odessa grimace. C'est pas très agréable à voir, quand cela touche les siens. Mais c'est la guerre alors, il devra s'y faire.

Puis l'américaine pugnace tente une manoeuvre pour le moins physique et immobilise l'intrus. La proie se débat, le duel ne serait pas aisé mais il se doit d'essayer. Pour eux. Pour la confiance que Pollux lui témoigne. Alors le regarde se croisent et la magie opère. Il ne s'attendait tellement pas à ça qu'il recule et trébuche sur Dieu sait quoi. Pas de chance, le sol n'était pas libre de tout débris.

Mais la magie n'opère pas. La Castel est beaucoup plus douée que son camarade en occlumencie et le repousse sans peine. Trop en confiance, trop sûr de lui, il ne s'y attend pas et trébuche, sous la surprise. Pas de chance, le sol n'est pas libre de débris. Il rejoint Altaïr, en quelques sortes. Les deux camarades balayés, balai coordonné.

Honteux, rageur, il prend la main que Pollux lui tend pour se relever. Sa baguette vise le mangemort stupefixé et ses lèvres murmure un sort. "Avis." Un oiseau attaqué par des congénères, c'était pas beau, ça ? De toute manière, il ne tirerait plus rien de ces deux-là alors, autant les mettre hors d'état...




Et t'y vois quoi, Ode ?:
 

Hey, Ode, tu lances un petit sort pour le fun? Malus +10 si je me tape un EC au premier dès:
 
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