everybody wants to rule the world

Les flammes grattent encore le ciel quand la délégation Castelobruxo arrive sur les lieux pour ramasser les morceaux. Il est temps. Dans la lueur de la lune, le trio de Che Guevara, @Capoeira et @Cha Cha Cha arrivent par les airs. On dirait presque une peinture. C'est le grand final, l'ouverture de la chasse. Qu'ils fuient. Un sourire mauvais encoche ses lèvres alors qu'elle murmure un air brûlant pour accompagner son neveu.

« Allez. C'est l'heure de nettoyer, les enfants. »

Des cadavres, des cadavres et des flammes. Il y en a qui se meuvent dans le tas. C'est ceux-là qu'il faut récupérer, ceux-là qu'ils captureront en premier. L'anglais (@Baileys), par exemple. Le clébard qui veut sauver ses maîtres, peut-être ? En proie avec Azar (le chien démoniaque), que le parallèle est mignon. Si il n'était pas hybride, elle lui reconnaîtrait presque une certaine bravoure. Alors qu'elle s'apprête à donner un coup de main au monstre, son attention est attirée par autre chose. Oh... @Belgrade. Ça devient intéressant.

« Je m'occupe de la russe. J'ai... Des affaires à régler avec elle. Faites ça proprement. Et n'énervez pas trop Azar. »

Par ça, elle parle de Baileys, et des autres survivants. Ils ne veulent pas tous les tuer. Mais un hybride... Un hybride ne mérite pas d'exister.

Elle descend promptement de sa monture armée jusqu'aux dents, bouclier dans le dos, épée à la ceinture. Pour le show, elle dégaine. Mais elle sait bien qu'elle n'aura besoin d'aucune aide extérieure pour vaincre la fragile, petite Belgrade.

« Allons, Esfir. Tu ne comptes tout de même pas essayer ? Nous savons toutes les deux que... Comment dire. Résister, ce n'est pas ton fort. »

NOTE : C'est la suite du sujet d'ouverture, on continue à part dans les serres pour plus de clarté.

Je jubile  dans les airs. La lueur de la lune danse dans mes yeux fous, ce soir, on allait enfin donner à cet endroit son excitant but funeste. Ceinture de guerre maintient mon pantalon a laquelle sont accrochées diverses potions dont j’ai le secret. Un don comme le mien, faudrait pas le gâcher ça serait dommage. Sept. Sept pour une bataille, il faudrait les utiliser à bon escient. Sept, chiffre pas choisi au hasard, ô non. Sept porte chance et à toujours porté chance et Richard comporte sept lettres. Coïncidence. Je ne crois pas. Arbalète est accrochée dans le dos, prête à être dégainée, Flingue coincé dans le bas du dos et opinelle magique cachée dans la botte. Les champs de mine ça me connaît et je suis surexcité à l’idée de prendre le contrôle de ce satané endroit.
Nous survolons les airs, je chantonne un cri de guerre : “UNO DOS TRES ON VA DEFONCER CES GUEUX LA” en levant le poing en l’air, zigzaguant entre la marraine et la brute. Magnifique trio : La bonne, la brute et le truand : j’adore. “UNO DOS TRES Y'AURA DU SANG ICI ET LA.”

Je descends en piquée, balais rapide et me pose en toute délicatesse. Claquement de doigts, balai disparaît et thermos de café fumant apparaît entre mes doigts tandis que mon autre main joue avec ma baguette.
Je lance un regard espiègle à marraine, clin d’oeil avant de tourner un regard plus autoritaire à la noire :

“T’as entendu? Tu t’occupe du Monstre” Je désigne du menton le sale hybride aux cheveux longs “Moi, je m’occupe de Mambo, je crois qu’elle a des choses à m’apprendre la petite.” Je glisse les mains dans mon dos et je marche lentement, presqu’en dansant près de la carcasse au sol de Mambo. Je sifflote et à sa hauteur je me penche vers elle.

“Salut Soeurette! Oooh, non pleure pas…” Je m’accroupis près d’elle et grâce à la pointe de ma baguette, j’écarte les tresses qui balaient son visage. Elle gémit la gazelle. “Tsss, c’est dommage que tu sois à l’article de la mort… Tu aurais pu m’être utile…” Je penche la tête sur le côté…”Alors… qu’est-ce que tu peux m’apprendre ? Oh tututut. Garde tes yeux ouverts… Tu veux pas ? Bon très bien.” Baguette s’agite mais le sort ne lacère que partiellement son visage. “Mais…” D’un geste rageur, je déchire la chemise de mes mains et arrache l’amulette protectrice qu’elle cachait autour de son cou : “Oh oh. Et ben… Merci Mambo…” Elle tourne de l’oeil, ses yeux se révulsent. Elle va bientôt crever. Je soupire en me relevant, au moins, j’ai gagné une protection. “Désolé Mambo, mais tu n’est pas assez pure pour ce monde.” Baisé envoyé du bout des doigts alors que mon pied vient enfoncer plus profondément la lame de verre qui était enfoncée dans sa cage thoracique. Mon sourire est plus large que jamais lorsque je tourne la tête vers les chiens et Capou. Uno duos tres, allez, allez, allez ! Le corps de l'autre suffoque, plus de signe de vie. Ciao. Gorgée de café, chaleur parfaite.





Lancé de dés :

1-10 : Echec critique, une magie semble bloquer le sort de Joachim.
11-15 : Echec, Les lacération ne la blessent que partiellement.
16-80 : Réussite, les paupières de Mambo sont lacérées
81-90 : D'un geste, les paupières de Mambo sont coupées nettes, elle ne peut donc plus fermer les yeux.

Dédé le dé:

Il avançait, y était presque, la créature ne bougeait toujours pas, plus que quelques pas. Mais il se figea, l’espace d’un instant, les ennuis arrivaient. « Putain manquait plus qu’eux… Comme si je n’en avais pas déjà assez avec le clébard ! » Il voyait Che du coin de l’œil, Cha de l’autre côté, un sourire pervers aux lèvres, peut être que s’en prendre à quelqu’un sans défense était amusant pour ce bâtard. Finalement il finit de faire les quelques pas qui le séparaient encore du monstre, et comme il arma son bras, une violente douleur lui entailla le flanc. Il recula instinctivement, se tenant les côtes, un genou près du sol. Il releva la tête, et tout en serrant les dents, il vit Capoeira face à lui, protégeant la créature encore immobile pour une ou deux minutes. Elle le regarda et d’un « Hey » le salua, c’était un peu malhonnête de prévenir après, mais au final, c’était la guerre, pas un duel à la française. Une lame aurait du être dans les mains de son adversaire au vu du coup et de la blessures, mais étrangement, rien. Son adversaire recelait probablement biens des secrets et de multiples dangers   Baileys sortit sa baguette de sa poche, et d’un « Hola señorita, à ce que je vois tu ne fais pas dans la finesse. » d’un geste vif il plaqua sa baguette contre lui, et essaya tant bien que mal de contrer ses blessures « Vulnera sanentur » last tentative de soin avant le battage de gueule : la magie se diffusa en lui, refermant presque ses plaies et stoppant le saignement. Il sentait toujours une douleur, la latino avait frappé fort, mais au moins il n’allait pas se vider de son sang pendant le combat. Il se redressa, et lui sourit en remettant sa baguette dans sa poche. « Pas mal du tout, tu veux un vrai combat ? » Et accompagné d’un regard, d’un changement dans ses yeux, devenus plus bestiaux ainsi que d’une voix largement plus profonde et rauque finit sa phrase « Alors dansons ensemble Capoeira ! » Les pulsations dans sa tête s’intensifièrent, le sang dans ses veines battait de plus en plus fort, ses muscles gonflaient. Il se replia sur lui-même, en respirant fortement et grognant de rage, il arrivait. La rune anti-loup posée par Boadicée rayonna de façon plus en plus vive, Baileys savait que sa nature éclaterait, il la retenait, mais elle prit le dessus, et devant cette situation de désespoir, se dressant comme un pilier aux ténèbres, il relâcha le torrent. Les barrières de l’humanité sautèrent, son torse se couvrit de poils, ses membres s’allongèrent, tous ses muscles tressaillirent, son visage changea de forme, prenant celle de l’animal. En un clin d’œil, l’anglais disparut sous les traits d’un loup garou, créature féroce et dominant de toute sa stature de plus de deux mètres vingt une fois transformé. Il faisait face à Capoeira, faisant des pas des sur la gauche, comme un prédateur tournant autour de sa proie, puis, il cabra ses jambes, et s’élança, vif comme l’éclair. A L'ASSAUT !: Il lui fallut moins de trois pas, pour l’atteindre, ceux-ci dépassant largement ceux d’un humain normal, son bras gauche fusa violemment dans un premier assaut. Partant de ses hanches, il remonta pour frapper la garde de son adversaire et la briser, avant d’abattre les griffes de son autre bras sur l’ouverture, visant la gorge, mais vive elle recula d’un demi pas, sauvant ainsi le point vital. Mais mieux valait rester au aguets face à un lycanthrope car la dangerosité de ses coups n’était pas le tranchant des griffes, mais la force du coup qui déchirait plus les chairs qu’il ne les tranchait et les blessures qui ne guérissait jamais vraiment ou très mal . Il reprit alors aussi sa distance, pour préparer son nouvel assaut, fixa Capo droit dans les yeux, dégarnissant ses crocs luisants, un véritable sourire bestial, avant de passer sa langue sur ses griffes, de grogner bruyamment et de s’élancer pour continuer le combat. (c) ANAPHORE

HRP :

Tout s'enchaîne trop vite, sous les yeux d'Esfir. On la défend, chose étonnante, les sortilèges fusant en direction d'Azar qui d'abord est pétrifié, puis entaillé de dizaines de coupures, avant que quelques flammes ne viennent le toucher. La bête ne courbe pas l'échine pour autant, la rage se décuplant en lui bien que nul autre qu'Esfir ne s'en rende compte ; on ne peut vraiment lire dans ces yeux abyssaux, seulement percevoir le frémissement colérique de l'énorme gueule.

Elle se redresse tant bien que mal. Un peu trop vite. La tête lui tourne, malgré le sortilège de Têtenbulle sensé la protéger des vapeurs corrosives. C'est autre chose. Elle ne devrait pas être là, comprend-elle tardivement, quand les trois silhouettes apparaissent dans le ciel nocturne. Sa baguette. Elle la cherche avec frénésie, doigts tremblants. Son entraînement ne lui sert plus à rien, car aucune bataille menée n'a jamais été semblable à celle-ci, parée de tels enjeux. Le temps qu'elle mette la main sur ce morceau de bois insignifiant et pourtant vital, la voix de Che résonne déjà dans son dos. Je m'occupe de la russe. Un frisson lui parcoure la nuque. La fuite est-elle encore possible ? Pourquoi ne pas avoir suivi les autres, par fierté, pour prouver qu'elle était farouchement loyale aux résistants ? Elle qui avait pourtant toujours prétendu n'avoir que faire des rumeurs à son sujet...

Elle recule face à Che. Pour la première fois depuis bien longtemps, Esfir montre sa peur, un nœud se formant au fond de son ventre. Va-t-elle mourir là, en un éclair vert, ou un coup d'épée ? Le combat est perdu d'avance, surtout avec les deux élèves de Castelobruxo et Azar sur lequel elle ne semble plus avoir le moindre contrôle. Les mots moqueurs de la brune ne font qu'achever sa contenance. Elle cherche à l'humilier, à la rabaisser, comme elle l'a toujours fait. Mâchoire contractée, poings qui se serrent. Esfir, pourquoi ne pas laisser libre court à ta rancœur, pour une fois ? Mourir peut-être, mais pas sans se battre. L'ennui, c'est qu'elle a trop à perdre. Elle ne jetterait pas toutes ses forces dans ce combat à la manière d'une condamnée, comme le ferait peut-être Baileys. Elle ne répond pas aux provocations de Che, parce qu'il ne sert à rien de démentir.

« Expelliarmus ! »

La slave espère envoyer voler l'épée au loin pour au moins ne plus avoir à affronter la lame de braises, mais à nouveau, une vive douleur lui traverse le bras. Cette fois, elle ne lâche pas sa baguette ; ses doigts s'y accrochent tant bien que mal malgré la brûlure. Le sortilège la protégeant des fumées toxiques, en revanche, se défait. Sous la douleur, elle a mis un genou au sol et semble plus vulnérable que jamais. Le regard d'Esfir se relève vers Valentina, dans l'attente de sa sentence. Elle semble étonnamment calme.

Lancer de dés:

« Tu me fatigues, Esfir. »

Elle roule des yeux et rengaine son épée. Valentina n'a même pas besoin de magie pour défaire... Ça. Une main vient attraper la tignasse et l'autre le poignet, alors qu'elle se met à hauteur pour la regarder dans l'âme. Tu me fatigues. La pensée passe comme un écho à la conversation. Un sourire carnassier entaille les lèvres et dévoile les canines. Elle n'a pas le temps de s'amuser davantage, car sa poitrine commence à brûler. Si le visage ne plie pas sous la douleur invisible, elle se relève tout de même en prenant la baguette de la russe. Il semble que les hostilités doivent être écourtées.

« Joachim. Luciana est morte. »

Ils savent tous les deux ce que ça veut dire. Ils ont choisi. Elle se relève bois en main et ouvre une pochette en bandoulière. Il en sort un pélican qui fait plutôt la taille d'un hippopotame. Son bec est rouge, runé. Une main tendre pointe dans sa direction, et la bestiole ramène son front contre. Brave garçon. Un échange de regard, une passation de conscience, et l'oiseau bouffe Belgrade.

« Selenys, on te laisse t'occuper de cette vermine. Ça ne devrait pas te prendre trop de temps... Tu nous rejoindras après. Essaye de ne pas trop engager. Enfin, remarque. Tue juste tous ceux que tu croiseras. Les bêtes ne t'attaqueront pas, elles te connaissent. »

Le pélican retourne dans la sacoche tandis que d'autres bestioles s'échappent, partent rôder sur l'Astronef. Des ombres monstrueuses qui tapissent la nuit. Ils tuent. Alors elle tuera aussi. C'est à peine visible dans son expression, sous ce sourire, mais elle est en colère. Triste, aussi.

C’est le sourire fier que je regarde la vie quitter le corps de la pétillante, du moins à l’époque, Mambo. Je ne lui accorde pas plus d’attention que ça, porte le café à mes lèvres tandis que mon regard se porte sur Selys qui sd’est lancée dans un combat acharnée contre l’hybride. Elle va n’en faire qu’une bouchée. Je tire mon paquet de clopes de la poche intérieure de ma veste. Cha Cha Cha n’est plus et je détestais les roulées. Cette cigarette est une bénédiction après la mort, comme la clope après le sexe. D’ailleurs, qu’en est-il de Sherry ? Clope allumée, je sors le miroir à double sens d’une poche de mon pantalon, je vois son petit nez penché dessus, ses doigts tapoter l’écran. « Jo ? Ç-ça fonctionne ? »  C’est vrai, je suis parti sans lui expliquer le fonctionnement : “Richie, j’te vois tu sais.” Un large sourire béat s’étend sur mon visage, porte le thermos de café à mes lèvres. A priori, il doit être en direction du bâtiment centrale avec Luciana alias Neruda. « Je.. j’ai récupéré Tango… c’est grave si elle vient avec moi ? Parce que… parce que y a eu Neruda et… et elle a prit Alcyone… et on va rester sage et retourner à la cave, d’accord..? Tu viendras me voir, dis ? » J’hausse les sourcil et je me force à garder le sourire “Ah, c’est bien, tu as réussi à te défendre !” Je ne sais pas trop quoi dire, je sens que y’a quelque chose de pas net. Je porte la clope à mes lèvres, l’air détaché. J’attends de savoir la suite avant de tirer des conclusions hâtives. Neruda devait les ramener tous les trois, pas juste Alcyone. Instinct se méfie. Café. Clope. J’altèrne. Mes yeux ne quittent pas les siens, il est...« J’pourrais te revoir dans le miroir quand on sera là bas ? Juste pour être sûr que tu vas bien. » Je réponds rapidement “Evidemment, si j’ai le temps je…” Regard est attiré vers Che qui se tient la poitrine et qui lève les yeux vers lui, voix faible. Luciana est morte. Je serre le poing tout en gardant mon sourire sur le visage. Ses yeux semblent tristes, véritablement tristes. Qu’est-ce qui s’était passé ? Il n’aurait jamais pu faire ça, jamais Sherry n’aurait pu me trahir. Et pourtant, il semblait évident qu’il avait choisi son camp. « J't'aime toujours, d'accord ? » Mon coeur se serre lorsque j’entends ces mots. J’entends sa culpabilité, je la ressent à travers le ton à moins que ça soit mon coeur qui trouve des raisons de ne pas lui en vouloir. Je sais pas. Je suis perdu. Ils ont fait du mal à Valentina. Au pire, alcyone payera pour les trois. “Je dois te laisser.” Ton plus sec que prévu, les émotions se mélangent, c’est difficile de faire semblant avec lui.

Miroir est coincé dans la poche. Mon pied vient shooter la carcasse morte de Mambo qui n’avait rien demandé. Ma main se glisse sur mon visage, faut que je me calme. Gorgée de café. Clope. Clope. Aspiration de fumée. e jette mon mégot au sol, lève les yeux vers marraine avant d’attrapper mon balai.

“On passe par la Cave. Je vais la verrouiller.”  Je me sens si con putain. Je lui faisais confiance. J'avais tout laissé ouvert pour qu'il puisse s'y réfugier... Le sentiment de trahison naît et ce n'est jamais de bonne augure. Le balai est enfourché : “Et on en profitera pour éclaircir la situation.” Pied tappe le sol, le balai monte en flèche, direction les anciens dortoirs des Castels. Quelques secondes suffisent pour y arriver. Baguette est dégainée, sort et mot de passe sont réactivés. Ceux qui n’ont pas le code de la Cave ne peuvent y entrer.  Je lance un sort de désillusion et mon corps disparaît. Un de mes sorts préférés. “Je me réjouis d’entendre ce qu’ils ont à dire.” Tango était notre priorité si la trahison était de mise.





Lancé de dés :

0-10 - Réussite critique : Le sort est si puissant que Valentina est aussi touchée,
11-85 - Réussite : Jo est invisible
86-90 : Echec - cela ne fonctionne pas
91-100 : Echec Critique : Le sort ricoche contre sa main droite et celle-ci disparaît. Manchot à vie. Olala . Drame. Heureusement qu'il est gaucher.

Dédé le dé:

Dédés les dés:

HRP:

Les coups ne portèrent pas, le clébard esquiva de peu, quant à Capoeira, c’est son bouclier qui lui sauva la vie, même si elle accusa le coup sous la force de l’impact. Le loup reprit ses distances, face à deux adversaires il fallait toujours garder une vision globale et privilégier des assauts rapides et très courts pour se fatiguer au minimum, car la force du nombre est souvent couronnée de victoires à l’usure. Heureusement pour Baileys, le choc subi par la latino lui fit rater son sort de mort, qui se perdit au-dessus de lui, quant au monstre, il semblait encore groggy, pas tout à fait remis de tout ce qu’il avait subi. Visiblement à bout de patience, Capoeira injuria le lycanthrope « Fils de chienne ! » ‘’ Alors on accuse le coup ? Et ce n’est pas fini’’ pensa l’anglais en retour. Il la vit tisser une sorte de filet très large autour d’elle, preuve qu’elle comprenait la dangerosité de son adversaire. ‘’Il va falloir changer de tactique avec elle, mais avant ça, je t’oublie pas sale bâtard !’’ D’un pas il pivota, et s’élança vers Azar, tous les crocs dehors pour profiter de l’ouverture qu’il lui offrait. Il filait à toute vitesse, fondant sur sa proie, bondit et enfonça ses crocs dans sa chair, sentant le goût du sang lui remplir la bouche. jet d'attaque: Il ne s’attarda pas, une seule morsure puissante, car le temps qu’il attaquait il ne voyait rien de ce que faisait sa deuxième adversaire. Il retira d’un coup sec ses dents de la chair du monstre, reculant de quelques pas pour refaire face à Capoeira. Il la fixe, un sourire carnassier aux lèvres, ses crocs dégarnis maculés du sang de la créature. Une impression de puissance l’emplit, il se sent revivre, le goût du sang, du sang frais, que ça lui avait manqué. Il s’élance à nouveau, conscient du fait que le filet serait solide, il attrape au passage un morceau de table brisée et le jette sur le bouclier. Il part tel un disque olympique de plus de 20 kilos, mais soit par manque de force soit un mauvais angle, le projectile frappe le bouclier et ricoche, s’écrasant plus loin. Il en faudra plus que ça pour percer les défenses de la beauté mortelle. 1-10 coup critique blessures très grave de ton choix ou membres arrachés 11-80 Capoeira échappe de justesse à la mort, mais le coup est tout de même violent et douloureux 80-100 le coup est raté et ne porte pas[/spoiler] (c) ANAPHORE

HRP Important:

Dé:

Allez Dédééé ! \o\: