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[S7-SAMEDI] good bye my lovers, good bye my friends

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Jeu 18 Avr - 14:05
Vivianne
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Vivianne
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https://astronef.forumactif.com
good bye my lovers,
good bye my friends
Semaine 7, samedi soir, 22H00

Les meurtres et les accidents pèsent sur l'atmosphère de l'école. Sans compter que Meryt-Neith est toujours dans la nature. Des annonces ont été faites en classe et dans les couloirs : tous les élèves qui souhaitent partir suite au discours de mercredi ont été invités à se présenter en Cour Centrale le samedi soir. Jeanne d'Arc elle-même les ramènera. Pour les européens, il leur a été proposé de rejoindre les planques d'un réseau de la résistance française. Certains partent par convictions, d'autres pour participer plus concrètement à l'effort de guerre, mais au fond, ils le savent tous... Il y a un peu de l'Astronef est un échec. Et Jeanne d'Arc ? Les raccompagne-t-elle vraiment, ou rejoint-elle le front ?
Devant Jeanne d'Arc et le Bouddha se tiennent une majorité de Beauxbâtons. Chevalier, Comtesse, Monsieur... Mais aussi une anglaise que tout le monde connaît : Absinthe. La longtemps numéro cinq. D'autres têtes sont remarquées : Adara, Vega, Hirondelle, Cueca, Tourmaline. En tout, dix étudiants. Il n'y a que Durmstrang, plus soudé que jamais, qui se tient dans la foule, en bloc. Comme pour, peut-être, essayer de dissuader des départs.

« Pour les adieux, c'est maintenant ou jamais. »

Jeanne d'Arc (PNJ)

Jeanne d'Arc est la directrice de la délégation Beauxbâtons. Contrairement à ses airs mondains, c'est une guerrière féroce et sanguinaire. On lui prête des batailles ingagnables et des exploits militaires à en faire pâlir le plus décoré des vétérans. Elle maîtrise la magie dite du duelliste, une vieille arcane qu'on retrouve en Europe, plus spécifiquement en France, et dans les régions bavaroises. Il s'agit de faire d'un objet une extension du corps (on utilise une arme, dans la majorité des cas), une extension de son âme. Cette magie usitée était originellement destinée au duel magique, le vrai, celui qu'on pratiquait au fleuret dans les cours royales. Il a par la suite servi à la guerre. Si la maîtrise de cette magie demeure relativement simple avec une seule extension, certains sorciers sont capables d'en maîtriser plusieurs simultanément, ce qui les rend particulièrement redoutables. On dit de Jeanne d'Arc qu'elle peut manipuler plus de cent armes à la fois. Surtout, elle est la première à avoir réussi à lier une arme à feu, jugée longtemps trop moldue, sans suffisamment d'essence magique pour y avoir recours par la magie du duelliste.  

Explications

Il n’y a pas de tour de jeu, vous êtes invités à poster autant de fois que vous le désirez ou à ne laisser qu’une rapide participation.

Les élèves qui souhaitent partir sont réunis autour de Jeanne d'Arc et du Bouddha, mais la Cour n'est pas fermée. Les "spectateurs" forment une seconde ligne, autour. Un bon deux mètres les séparent du noyau de déserteurs. Vous êtes maintenant libres de réagir (comme vous le souhaitez, en approchant ou pas).

Il y a pas mal de PNJs à qui vous êtes libres de donner des têtes, des rangs, des relations, etc.

Note : Nobunaga ne part pas. (désolée Pollux)  
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Jeu 18 Avr - 23:35
Cardinal
Cardinal
Pseudo : DELPH
Avatar : JEON JUNGKOOK
Crédits : KELLY (AV)
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[S7-SAMEDI] good bye my lovers, good bye my friends Original
In peace, may you leave this shore. In love, may you find the next. Safe passage on your travels, until our final journey to the ground. May we meet again.  (@th // beerus)
goodbye.

« Cardinal, je ne peux pas rester ici. »

Les messages avaient été claires et les annonces avaient été faites à de nombreuses reprises. Quiconque voulait quitter l’Astronef devait se présenter en Cour centrale le samedi soir. Cardinal et Hirondelle avaient parlé longuement, dans le dortoir, suite au départ de sa camarade.

« Les guerriers n’abandonnent jamais leur maître, Hirondelle. »


Cardinal avait aussi passé du temps avec Chevalier et Comtesse, pendant la semaine, leur demandant si les rumeurs étaient vraies et qu’elles voulaient vraiment partir. La première avait approuvé et la seconde lui avait donné un coup de poing farouche, lui rappelant de ne pas se laisser atteindre par leur départ et de devenir plus fort. Ainsi, il ferait honneur à ceux qui avaient confiance en lui et cela lui avait fait du bien, lui rappelant les choses importantes qu’il avait dites à Hirondelle, près de cette planche à dessin. Même s'il voulait être un guerrier sans maître, sa famille se trouvait ici, et il ne pouvait pas l'abandonner.

Les mains derrière le dos, il se tient droit, mais cette fois-ci, il ne se précipite pas. Pour sa part, il avait fait ses adieux. Cependant, il connait les règles de la bonne conduite. Dignement, il s’avance en direction de son camarade de Mahoutokoro. Hirondelle murmure des mots sur ses lèvres et Cardinal, lui répond, sans prononcer les mots, les formulant seulement sur les lèvres, dans le japonais de leur institution, dans leurs plus profondes traditions. « Itterashai. »

Le jeune homme fait alors un salut respectueux à son compatriote, et avance un peu pour se trouver devant les membres des autres délégations. Il s’apprête à tendre la main pour leur dire au revoir, comme il était coutume de le faire avec les étrangers, mais il reçoit un hochement de tête du directeur Nobunaga. Comprenant le message, Cardinal place les mains sur les côtés et salue ses camarades, comme il l'avait fait avec les siens. Par la suite, sans mot dire, il réintègre les rangs de Mahoutokoro.

 
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Ven 19 Avr - 6:26
Grave
Grave
Pseudo : Ari
Avatar : Troye Sivan
Crédits : anesidora (av)
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Tu fixes le groupe qui prépare déjà son départ prochain. Trois français. Trois membres de ta délégation à qui tu as déjà fait tes adieux. Simples et formels. Dans les règles. Tu ne juges pas leur départ : c’est leur choix après tout. Tu restes, ils ont décidé de partir. Ainsi vont les choses. Et après les événements de ces dernières semaines, qui pourraient réellement le leur reprocher ? Honnêtement et sans dévier d’un iota de ses propres pensées ? Même toi ça t’a effleuré. Oui elle est venue te voir un soir alors que tu n’arrivais pas à dormir. Cette pensée lancinante et douloureuse « Ça n’aurait jamais dû se passer comme ça. ». Et pourtant tu restes. Tu ne sais pas vraiment ce qu’ils comptent faire. Ils ont beau être de ta délégation, hormis avec Reine, tu n’as jamais été très proche des autres. Pourtant tu les respectes, tu les respectes ces gens qui ont décidé de faire partie intégrante du projet Astronef pour un temps alors qu’ils auraient très bien pu se terrer comme des lapins. Certains le font. Et tu ne peux pas leur reprocher, c’est humain de vouloir sauvegarder sa propre vie non ?

Ton regard croise l’espace d’un instant celui de Monsieur. Le temps d’une fugace œillade, d’un léger signe de tête. Bref mais respectueux, simple rappel de vos adieux, échange à leur image. Sobre et sans regrets. Elle n’était pas une amie, mais elle n’était pas une inconnue non plus. Elle était la seule dans ce petit groupe qui s’en allait vers d’autres horizons à avoir eu plus qu’une discussion superficielle avec toi, un jour au détour d’un couloir. Pour autant tu ne savais rien de ses projets, de ce qui l’attendait une fois redescendue. Tu n’avais pas cherché à savoir : elle n’avait pas désiré t’en dire plus. Et les choses se finissaient simplement. Tu inspires lentement. Tu les regarderas partir. Pour une question de respect encore une fois.
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Ven 19 Avr - 10:24
Invité
Invité
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Premiers départs.

Enfin, pas tout à fait. Lancelot met ces départs-ci sur le même plan que les morts dont le nombre n’a cessé d’augmenter. Ce n’est pas son premier conflit et il sait qu’il y a bien des raisons pour partir: parce qu’on a été privé du choix de faire autrement, ou parce qu’on décide de prendre ce choix et de ne plus le lâcher. Malgré les apparences, il n’y a aucun jugement dans ses traits. Il comprend. Il comprend la lassitude et la peur, il comprend l’absence de repères familiers, il comprend le découragement, le dégoût, l’agacement face à l’immobilité, face aux fissures. Il est parti de sa propre guerre, il y a quelque temps déjà, pour des raisons bien moins nobles. Et quand bien même il serait déçu du symbolisme qui s’affiche devant lui, des dos qui se tournent, le cynique qu’il est sait bien que des pertes sont toujours à prévoir.

Son rôle, aujourd’hui, est similaire à celui de d’habitude. En tant que professeur, il se doit de croire au projet un peu plus fort, de montrer un certain exemple. De montrer qu’une unité est possible. Il regrette le départ d’un membre de sa délégation, mais en réalité, le regret doit être pour tous ceux qui s’apprêtent à partir sans regard pour la nationalité, et tous ceux qui les regardent faire: pour l’échec de ne pas avoir réussi à les rassurer, à les conseiller, à les protéger, à les retenir.

Ils sont adultes. Il est quand même responsable. À ses yeux, ils sont malgré tout encore très jeunes.

Il est là pour tenter d’offrir un visage familier et rassurant, aussi rassurant que son sempiternel masque neutre peut l’être, aux Castelobruxo et aux autres élèves qu’il a commencé à côtoyer. Il est là pour Che, également. Il devine déjà le coup dur qui se profile au vu de l’énergie et de la volonté que la jeune femme a mis dans l’Astronef. Il lui est redevable de beaucoup, sait qu’il ne serait pas la même personne sans son intervention, sait qu’il ne pourrait pas vivre avec lui-même si elle n’avait pas croisé son chemin. Il l’apprécie, aussi, apprécie son caractère, sa façon de faire, ses valeurs, sa compagnie.

Alors, il est là. À observer les réactions autour de lui, à croiser des regards, à attendre et à espérer que ces adieux se déroulent pour tous le mieux possible.
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Ven 19 Avr - 11:19
Altaïr
Altaïr
Pseudo : Danael
Avatar : Froy Gutierrez
Crédits : Kidd
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[S7-SAMEDI] good bye my lovers, good bye my friends 01e7de2c0bb22e9c9853df6d5a59ec15d3fa31f0_hq
Semaine 7, samedi soir 22h

Le cœur lourd, Altair comptait parmi les spectateurs venus assister au départ de ceux ayant quitter le projet de l’Astronef. Il ne portait pas le moindre jugement sur les courageux ayant choisi de suivre leur instinct, leurs principes et/ou leurs valeurs. Mais il n’était jamais agréable de voir s’envoler des camarades. Il ne les connaissait pas tant que ça à l’exception de Vega et Adara qu’il voyait partir avec difficultés. Il acceptait leur choix, mais il ne se sentait pas heureux de voir des camarades et surtout des amies sortir de sa vie, pour on ne sait quel avenir.

L’aigle se tenait aux côtés de ses camarades, calme et silencieux. Son regard n’exprimait rien mais son cœur hurlait sa tristesse. Il préférait toutefois les perdre à présent que d’une autre façon, au combat ou simplement sur l’île. C’était leur vie à présent, rien n’est éternel. Altaïr timidement s’avançait en direction des jeunes femmes. Pas d’étreinte, pas de grands mots d’amour, ce n’était ni leur genre, ni le sien. Un simple sourire sincère et discret. « Puissions-nous nous revoir. » Les au revoir avait déjà été fait et le jeune homme préférait laisser la place à ses deux camarades. Il se reculait à nouveau, posant son regard sur les autres départs. Aucun ne lui avait vraiment adressé la parole, pourtant tous avait mené son combat.
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Dim 21 Avr - 0:03
Brynhild
Brynhild
Pseudo : Poziomka
Avatar : Ashley Benson
Crédits : Poziomka
Messages : 228
Points : 409
La poupée qui sourit plus #MerciCardi
Ils étaient là, dix étudiants alignés face à eux. Dix personnes n’ayant pas trouvé leur place ici, ou ayant été déçues. Il y avait des visages connus, comme ceux d’Absinthe et des deux américaines. D’autres ne s’étaient pas vraiment faits remarquer pendant leurs quelques semaines à l’Astronef. Dont Tourmaline, cette étudiante tanzanienne avec qui Varsovie avait discuté à plusieurs reprises. La slave aimait beaucoup cette jeune femme qu’elle avait longuement écouté parler. Mais son départ n’était pas vraiment une surprise, puisque Tourmaline lui avait confié dès le début qu’elle ne se sentait pas à sa place, ayant laissé derrière elle une famille qui avait besoin d’elle. Et maintenant qu’on lui offrait l’occasion de partir, l’africaine ne s’était pas faite prier. La veille, Varsovie l’avait croisée et elles avaient longuement discuté, une dernière fois.

Cette discussion avait d’ailleurs beaucoup fait réfléchir la slave. D’une part, elle trouvait courageux le choix de partir. Parce que l’Astronef n’était jusqu’à présent pas à la hauteur de leurs espérances à tous. Même Varsovie qui y croyait corps et âme ne pouvait s’empêcher d’en remarquer les énormes problèmes. Les morts de Corail et Monseigneur. L’attaque de Minsk. La disparition de Meryt-Neith. L’absence de Vivianne. Et d’autre part, partir c’était abandonner les autres, abandonner ceux qui étaient dehors et en danger. C’était égoïste, au premier abord. Mais peut-être que les autres étaient comme Tourmaline, et avaient leurs propres combats à mener chez eux ? Qu’ils se sentiraient plus utiles là-bas ? Rejoindre les réseaux de résistance, c’était continuer la lutte, peut-être plus qu’eux qui restaient ici.

Mais la slave ne pouvait pas partir, parce que désormais sa vie et ses espoirs étaient ici. Elle ne voulait pas des planques, elle n’en voulait plus. Et puis elle avait toujours confiance en Mendeleïev, malgré tout. Et s’il avait encore confiance dans le projet, alors elle aussi. C’était peut-être grâce à lui que tous les Durmstrang étaient encore là, alignés face à ceux qui partaient. C’était aussi pour eux que Varsovie ne pouvait même pas envisager l’idée de partir. Pour Jana, pour Skopje, pour Odessa. Et puis pour Minsk, qui se tenait juste à côté d’elle. Encore un peu faible, mais dans un bien meilleur état qu’il y a trois jours. Varsovie ne pourrait jamais assez remercier la personne grâce à laquelle son amie allait mieux. Et puis c’était ça la force de l’Astronef, en dépit de tous les dysfonctionnements. Leurs différences, leurs particularités, leurs complémentarités. Varsovie adressa un large sourire à Tourmaline. Leurs chemins se recroiseraient peut-être un jour. Mais ici, ils devaient continuer.

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Dim 21 Avr - 18:26
Pollux
Pollux
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Good bye my friend
Good bye may seem forever. Farewell is like the end, but in my heart is the memory and there you will always be.

Semaine 7, samedi soir

Vega et Adara partaient.

Pollux en ressentait énormément de tristesse. Il aimait beaucoup les deux filles, avec qui il avait passé beaucoup d’années de sa vie, suffisamment pour les considérer comme des membres de leur petite famille dysfonctionnelle, mais heureuse et soudée. Mais après les événements de mercredi, il y avait eu un appel général. Tous ceux qui voulaient partir le pouvaient. La décision de Pollux avait été facile. Il restait. Il avait plus d’amis sur cette île qu’en Amérique, et malgré le danger, malgré ce qu’ils affrontaient, il ne pourrait pas partir, et les laisser tous seuls. Comme Cardinal, Odessa… Ou Ambre.

Alcyone avait essayé de le convaincre de partir, mais l’américain était resté ferme. Il restait ici. Il n’avait pas raté la petite étincelle de soulagement dans le regard du blond qui, s’il poussait ses amis à se mettre en sécurité, était tout de même soulagé de ne pas devoir affronter seul ce qui leur faisait face. Et puis, Pollux était une tête de mule. On l’avait attaqué ? On pensait pouvoir l’intimider en le laissant pour mort ? Fuck no. Il allait rester, et prouver à celui ou celle qui avait voulu sa mort qu’on ne l’intimidait pas aussi facilement. Il avait vu pire dans sa vie, ce n’était pas ça qui allait le faire reculer.

Altaïr fut le premier des américains à oser quitter le groupe des huit américains restants, s’approchant des deux qui s’en allaient pour leur redire au revoir. Ils avaient beaucoup discuté dans le dortoir, pour tenter de les faire changer d’avis, de ne pas se laisser tenter en partant avec elle. Finalement, Pollux lui emboîta le pas pour se planter à nouveau devant elles, et, sans un mot, il les serra dans ses bras avec douceur en tentant au maximum de ravaler son émotion. Elles partaient. Mais elles seraient en sécurité en Amérique, plus qu’ici, sur cette île maudite où rôdaient des monstres, des criminels et des profs psychopathes.

« Au revoir, les filles, murmura-t-il doucement. Ce fut un honneur de vous connaître et d’être votre ami. Merci pour la peluche. Silence. Court, mais extrêmement triste. Et si vous passez par chez moi, se força-t-il avec une pointe d’humour, dites bien à mes vieux que je suis pédé, et prenez une photo de leur réaction, que je puisse rigoler un peu après la guerre. »

Adara étouffa un léger rire, et il les lâcha, comme à regret. Il n’avait aucune envie de laisser partir ses sœurs, mais il ne s’y opposerait pas. C’était leur décision.

Elles allaient, cependant, énormément lui manquer.
code by bat'phanie

Vivianne a écrit:
Note : Nobunaga ne part pas. (désolée Pollux)

Dommage. [S7-SAMEDI] good bye my lovers, good bye my friends 3599034453
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Mer 24 Avr - 2:44
Vidame
Vidame
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C'est le pas lourd que t'es arrivé dans la cour Vi. Non pas par tristesse. Mais habité d'une colère sourde, noire, enragée. Tu fermes le poing en regardant les déserteurs alors que tu te remets à peine de l'annonce de leur départ. Une preuve de lâcheté pour toi. Rien de plus, rien de moins. Des gens à la volonté insuffisante pour faire ce pour quoi ils se sont engagés. Des fuyards et des lâches. Oh, certains iront probablement se battre, tu le sais. Mais pas tous. Pas formés. Pas prêts. L'Astronef, c'est la forge dans laquelle les armes les plus tranchantes seront forgées, tu en es persuadé. Tu crois comme personne dans ce projet, peut-être même plus que Vivianne elle-même. Tu les dévisages tous du regard, mais sans réellement les voir, tu n'aperçois plus que leurs échecs. Puis une française te lance un regard. C'est plus que tu ne peux en supporter. Ton poing gauche se resserre de rage, une larme coule alors que ton bras droit lui, se relève. Pour leur adresser à tous un majeur dressé, une dernière insulte aux rats quittant le navire. Tu prends un peu de voix, pour être au moins entendu par tous une fois :

" Ceux qui se cassent. J'vous conchie. Tous. Ici c'est notre meilleur espoir d'encore Le vaincre. En partant, vous abandonnez. Vous vous résignez à une défaite prochaine. Bref... vous puez la merde."

Tu renifles, avant de balayer les larmes de colère de ton visage. Tu te retournes, refusant de voir à nouveau ces désormais anciens camarades. A tes yeux, ils sont désormais morts. Ils mourront probablement bientôt de toute façon... Tu fais un pas pour t'éloigner d'eux.
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Mer 24 Avr - 22:10
Minsk
Minsk
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Cigarette aux lèvres, teint plus pâle qu'à l'ordinaire, air préoccupé. Elle a mieux à faire que d'être ici, à zieuter les lâches s'en aller en s'encrassant les poumons à la fumée. Il y a une pointe de mépris dans son regard alors que bon, elle aussi rêverait de se tirer. C'est peut-être même pour ça que Minsk les trouve si méprisables, parce qu'elle est jalouse dans le fond, parce qu'elle ne peut pas décemment se barrer elle. Alors elle se tient plantée, droite comme un i, aux côtés de Varsovie qui sourit à une des Uagadou. Elle en reste admirative la brune, de cette capacité qu'a son amie de toujours sourire alors qu'ils sont objectivement très très mal barrés. Et pourtant, ils se tiennent tous là, en bons petits soldats, à regarder les départs et pas un ne semble vouloir bouger du banc des rouges. Pas l'ombre d'un sourire ne vient déformer les lèvres de Minsk, elle se contente de regarder d'un œil un peu vide les adieux qui se font. La seule chose qu'elle note, c'est que Vivianne ne daigne même pas pointer le bout de son nez. Quelle directrice en carton. Taffe de cigarette, nouvelle bouffée de fumée libérée dans les airs, le regard capté par le petit spectacle de Vicaire. Ah bah voilà, de l'animation, pile ce qui manque à l'atmosphère pesante. La slave se penche vers l'oreille de Varsovie.  "Dis, on peut se casser ? J'me sens pas super bien." Et elle ne ment pas, elle exagère juste un peu, puis elle ne précise pas pourquoi tant de faiblesse. Non, ce n'est pas le contre-coup des blessures, juste l'envie de partir en courant les rejoindre qui la titille que trop. L'astronef a beau être à ciel ouvert, on s'y sent souvent comme dans une putain de prison.
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Mer 24 Avr - 22:49
Alcyone
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Cœur est un peu plus léger à chaque pas. Mine devrait être défaite de laisser la jumelle s’en aller et pourtant sourire enchante les traits. Elle sera mieux où elle va. Certitude se répète pour combler le vide que l’astre sent déjà se creuser. Plus de rires cristal, plus d’aventures improbables avec la femme qu’il aime tant. Plus de sombres bêtes la guettant dans la nuit. Il aurait aimé que le frère l’accompagne qu’il quitte le charnier qui s’installe sur l’île mais rien n’y a fait, Pollux est têtu refuse de céder. Azur glisse silencieux sur les silhouettes qui s’alignent, n’en remarque que deux. Premiers émois, adieux maladroits et guindés, éclat de rage de Beauxbâtons. Il sourit toujours. Se détache du groupe pour rejoindre les constellations égarées, bref regard sur Adara, écho aux rares mots tendus qu’ils ont échangé depuis leur arrivée. Toute attention maintenant sur Vega. Souverain se moque des airs qui sont à l’austère, s’empare de la main de la lune pour y déposer un baiser marqué, lèvres s’étirent railleuses. « Chaque jour sera lourd de ton absence ; aucune femme ne saura jamais égaler ta grâce et ta beauté. Sache que tu règneras à jamais sur mon cœur et au creux de mes nuits. Clame haut et fort, souvenir de leurs éternelles piques et flatteries, avant d’ajouter un peu plus bas, un peu plus sérieux. See you soon, sis’. » Eden reste planté dans l’hazel un moment, figé, avant qu’il ne relâche ses doigts et tourne les talons, rejoigne le frère pour retrouver leurs quartiers.  
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Mer 24 Avr - 23:17
El Decapito
El Decapito
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UNO DOS TRES  CHA VA MOURIR
Faut dire au revoir paraît.
Mais putain qu’est-ce qu’il en a branler de voir des crétin prendre la fuite. Mains dans les poches, il fait des grands pas, foule l’herbe avec son crew de noirs délavés.
Les gens sont tendus. Genre ça, va, y’a eu trois morts et un ressuscité. Y’a pire, hein.
P’tain. Que des fils à papa ici.
Faut dire adieu, paraît.
Quelle tristesse, Cha Cha Cha va finir par verser une larme. Mais juste pour pisser moins, parce que les départs, il s’en fout comme de sa première pipe.
Ouais en fait non, on oublie pas la première. C’est à c’moment là que tu apprends qu’il faut pas mâchouiller tout ce que t’as en bouche.
Il lève les yeux au ciel, sa tête suit le mouvement de manière démesurée.
Des tapettes.
Surtout qu’ils vont tout oublier.
Genre, qu’est-ce qu’il en ont à foutre sérieusement ? Mais, ce sourire sur son visage, celui-là même, au coin de ses lèvres ravageur, s’approche de Vega, lui chuchotant à l’oreille.
J’suis déçu qu’on ait pas pu partager un ptit moment sexuel toi et moi, ma bichette.” Clin d’oeil appuyé, il rit fort. D’un geste arrière de la tête il évite une claque, il ricane.  Ouais Alcyone devait sans doute être énervé d’voir sa soeur se barrer, mais qu’importe, Cha Cha Cha allait le réconforter plus tard à sa manière. Pfff, quel gâchis. Il aurait pu se faire le frère et la soeur. Problèmes familiaux. Pas son problème. Faut plus que pécho l’ptit cul sexy du frère à présent. Facile.
Il passe devant chaque départ, réplique de manière de plus en plus respectueuse avant de finir par Cueca, une de sa délégation.
T’es encore plus naze que moi, j’me d’mande comment t’as fait pour survivre jusqu’ici!” Il lui balance une tape dans l’dos, l’autre se marre. Accolade fraternelle. “Pars ! Va ! Et ne m‘oublie pas trop !” Crie-t-il en apposant le dos de sa main sur son front de manière très shaekespierienne.
Il retourne  près de sa délégation et lâche : “Bon les tapettes, on va s’en mettre une ? C’pas tout ça mais on s’fait graver chier, ici. Y’a trop d’tristesse et j’ai envie de claquer vos petits culs” Il glisse une clope roulée dans sa bouche, l’allume et glisse son bras sous celui d’une de sa délégation, prêt à partir. Il a dit aurevoir, maint’nant, ils allaient s’éclater pour oublier à leur manière. L’brésilien était prêt à danser la Salsa toute la nuit.
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Sam 27 Avr - 21:47
Invité
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Ça commence à ton gonfler doucement les rassemblements sur l’Astronef. Des départs ? T’as envie d’hurler « mais qu’est-ce que je m’en bats les cooooouuuuuiiiiiiiiilllllles ??!!! » Mais tu le fais pas parce que tout le monde à l’air de pencher pour l’approche polie ; et que, en effet, tu t’en bats trop les steaks et tout le reste pour prendre la peine de réagir à contrecourant de l’attitude générale. Mais le fait reste le même, tu t’en fous. Ils font bien ce qu’ils veulent de leur pauvre petite existence insipide. Ok, non, tu t’en fous pas complètement. C’est le mépris qui te pousse à ronger l’intérieur de tes joues, et à planter des griffes dans la peau de tes bras croisés. T’es la première à avoir toutes les raisons de retourner de là où tu viens, parce que Voldemort, Trump, et le monde entier se contrefout de là d’où tu viens et tu pourrais y retourner et certainement y couler une existence paisible jusqu'à crever de ta belle mort (ou d'un cancer des poumons, ou d'une cirrhose du foi, ou d'une mst, mais c'est un autre débat).

C’est Vicaire qui crache le premier, et tu ne peux t’empêcher de sourire. Amen. C’est pas ta confession, mais tu t’en fous, ça s’y prête bien. Tu lâches un bref sourire, l’air fuyant aussi vite de tes poumons que ta mésestime est grande. « C’est à se demander ce qu’ils sont venus foutre ici à la base ... » Tu dis ça pour toi. Pour ta chaire à tes côtés. Pour les tiens autour de toi. C’est Cha Cha Cha qui rompt la somnolence de votre délégation, toujours à part dans cette comédie. C’est toujours Cha qui se met à brailler en premier de toute façon. Tu lui abandonnes ton bras de bonne grâce, avec une certaine gratitude. « Mon petit cul est tout à toi. » Oh oui cassons-nous. Tu attrapes Tango au passage, un clin d’œil trop évocateur à l'attention de Frevo. « Allé les enfants, v’nez on va resserrer nos rangs dans les dortoirs … » Ça c’est un bon programme. Ça c’est très Castelo.
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Mer 1 Mai - 16:27
Mary Read
Mary Read
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Goodbye
[S7-SAMEDI] good bye my lovers, good bye my friends Giphy

Les départs. Prévisible, n'est ce pas ? Manque de volonté ou de motivation, qu'importe, la peur même peut guider les plus jeunes à s'envoler vers d'autres cieux. Mais quel gâchis. Pari, sur eux, sur leur potentiel. Travail. Chaque enseignement à l'Astronef est du temps perdu, où les professeurs ne luttent pas contre le lord noir.

Chaque heure ici est un mort en dehors. Et les voilà, la dizaine de perte. Il n'en connais pas tant que cela, mais Absinthe se distingue du lot. La voyante. L'anglaise. Read, Sherry et Absinthe aurait pu former un triumvirat en matière d'information et de compétence du troisième œil.

Où diable allaient ils tous rentrer ? Les français en France et les anglais en Angleterre ? Il voulait bien voir ça.

Read tourna le dos à la scène et s'éclipsa.

Il ne fallait pas perdre du temps ici.

Chaque heure à l'Astronef coûtait des vies à l'extérieur.

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Jeu 2 Mai - 0:45
Capoeira
Capoeira
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Crédits : Bibi
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Ca, la future élite du monde sorcier libre ? Tu parles. Premiers p'tits soucis et tout l'monde qui s'barre en chialant. Pauv' p'tites choses fragiles, jamais ça tiendra cinq minutes sur le terrain. J'me d'mande où y vont aller maint'nant tiens. On va vraiment les laisser filer dans la nature ? Moi j'aurais descendu tout ça et tout nettoyé, histoire d'être tranquille. Pourquoi on m'écoute jamais putain.

D'puis quand on d'vrait avoir pitié des déserteurs ?

Y en a qu'ont l'air d'prendre ça très à coeur en tout cas. D'une façon ou d'une autre. Moi j'suis à l'écart, bras croisés, appuyée sur un truc. J'attends qu'ça passe, qu'on puisse aller faire aut' chose, des trucs plus utiles qu'encaisser des pleureuses. Ca m'gonfle, mais ça m'gonfle. Ca gonfle pas qu'moi on dirait, mais moi y m'gonflent aussi les autres. J'suis pas là pour chialer et baiser et j'vois qu'ça entre les chiards et les copains qui s'barrent et ça m'emmeeerde.

J'dois avoir une gueule qui dit "kill me now ffs", et aucun srof... scu... oh puis merde. M'en bats les oeufs d'ces conneries et d'la gueule que j'peux tirer, voilà. Paraît qu'y fallait être là alors j'suis là, mais au moins y pourraient faire l'effort qu'ça soit pas aussi chiant.
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Sam 4 Mai - 20:18
Guinness
Guinness
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woods

DEPART DES ELEVES



Guinness est à peine perceptible, baignées par les ombres, à l’arrière de la foule. Son regard perçant ne quittait pas la silhouette d’Absinthe. Entre l’overdose de Sherry et le départ de la voyante, il n’y aurait eut nulle surprise à ce que la britannique se sente seule dans sa délégation. Pour une fois, son visage est parfaitement lisible. Ses traits sont durs. Ses yeux implacables. Elle fait sans l’ombre d’un doute partie de ceux qui jugent ce départ comme une perte, ceux qui partent comme des lâches.

Elle n’a pas fait un pas vers Absinthe. On dit qu’il y a eu des éclats de voix la veille dans le dortoir de Poudlard. Elles se sont sans doute déjà dit tout ce qu’elles ont eu à se dire. Aux mots de @Vicaire, elle secoue lentement la tête, condamnant un peu plus les démissionnaires. Alors que le Beauxbâtons s’éloigne, elle croise son regard. Un éclair de complicité traverse ses yeux pâles. Puis elle aussi s’écarte à son tour, disparaissant dans les ombres.



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