Ils atterrissent sur un lopin de terre de manière plus ou moins violente (mais pas au point de se casser quelque chose, ils peuvent rouler sur quelques mètres, ceci dit). Marie Antoinette est sur ses deux jambes.
« Chouette balade ! A l'occasion, je vous apprendrai à repérer les routes. Adresse-t-elle avec un clin d’œil. Vous êtes les deux seuls à avoir sauté. Bienvenue dans la partie, les morveux. Suivez-moi. »
Et elle marche, droit dans un tronc d'arbre. Derrière, des escaliers. Des escaliers à n'en plus finir. Ils montent jusqu'à atteindre une trappe. Derrière cette trappe, se trouve ce qui semble être un QG assez sommaire. Il y a des plans partout, des têtes en photo épinglées sur le tableau en liège. Et une vue imprenable sur toute la vallée (en 360°). De là-haut, on arrive même à voir la lisière de l'océan. Il y a surtout Shakespeare, qui attend là.
« Jetez un coup d’œil par l'observatoire, au lieu de le regarder comme si c'était le Messie. »
En bas, il y a des petites agglomérations autour de feux de camps. On ne distingue pas bien dans la pénombre, mais c'est assez pour repérer le mouvement. C'est eux, qu'il faudra observer, on devine.
« Comme vous pouvez l'voir, il y a deux grands rassemblements. Pointe-t-elle du doigt. Avec Shakes, on a déjà fait un peu de repérage. Mais on sait pas encore trop s'ils sont ensemble, s'ils sont ennemis, alliés de circonstances ou amis, s'ils sont juste là pour boire une bière, ou pour conquérir la Grèce. Ils se déplacent dans la même direction, en tous les cas. Si on vous a fait venir, c'est que ce soir, on va tenter une approche, puisque jusqu'ici, on a pu que les suivre de loin. »
L'un des camps paraît mieux gardé, mais l'autre semble plus peuplé. Quelle technique d'approche ? Marie Antoinette a hâte d'entendre les propositions de cette future rébellion. Elle ricane déjà d'avance.
Les précisions
Marie Antoinette dite la Reine Marie Antoinette (PNJ)
Comme son pseudonyme le suggère, c'est une française. Une beauxbâtons. Malheureusement, elle n'a rien de la grâce et du standing qu'on attribue normalement à sa délégation. Marie Antoinette n'a aucune manière, tourne à l'alcool et au tabac. C'est la pire démagogue de tout l'Astronef, et probablement une pédagogue pire encore (on aime rigoler en disant qu'elles concourent pour le titre de pire prof, avec Meryt-Neith). Les rumeurs lui attribuent toutefois la maîtrise de l'espace temps. Mais comme on a encore jamais vu la couleur de son potentiel, ou qu'elle n'a même jamais tenu un cours pratique eh bien... Ça n'est que ça : une rumeur. D'ailleurs, elle ne semble pas avoir de baguette, mais sa magie répond très bien à sa bouteille de bière.
Explications : C'est la situation principale, à vous de déterminer ce que vous ferez ensuite. Vous séparer ? Rester ensemble ? Débattez. Agissez.
Note : L'ordre ne change pas : d'abord Sirius, ensuite Guinness. Shakespeare est en fin de tour.
Ven 8 Mar - 20:55
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La Chute Sirius, Moineau, Guinness, Kiev.... Ayant sauté, le pas, sans la moindre crainte, Sirius était prêt à laisser la gravité prendre les reines, pourtant cette assurance vint rapidement à être ternie par l'action étrange de cette prof alcoolique à l'humour très douteux. Ainsi arrêté avant même d'avoir parcouru le moindre mètre, mais pour autant bien loin d'avoir les pieds sur quelque chose de concret, Sirius fut prit d'une étrange sensation. Rigolait-elle vraiment ? Lui n'en avait aucune idée, mais venant ainsi à le relâcher et à le laisser tomber, ce n'est qu'en voyant sa comparse rouquine elle aussi qu'il fut plus rassuré. Loin d'être entièrement certain de leur survie à tout deux, son cœur devint plus léger quand il aperçut l'autre folle, venant les rejoindre à une vitesse ahurissante.
Devant être témoin des gestes présumé cool de cette dernière, lui qui était encore de dos, se retourna pour faire face à sa chute. Se préparant à sa chute, le sol s'approchant à grand pas, le jeune sorcier ne tarda guère à jeter le merveilleux sort Arresto Momentum, venant ainsi à stopper sa chute à quelques centimètres du sol. Ayant étendu son sort à sa camarade anglaise, Sirius vint tout de même à se manger gentiment la face contre le sol, au moment où il mit fin à son sort.
Venant à se relever, il jeta un œil vers Guinness, lui faisant implicitement comprendre que cette histoire était quelque chose de dingue, du moins tout autant que leur accompagnatrice du moment, puis comprit aussi que les deux autres avaient eut la trouille et n'était plus de la partie.
Emboitant alors le pas de la déganter, il suivit au sein d'une entré magique incorporé dans un arbre, venant à rejoindre un professeur Shakespeare dans tout sa splendeur. Venant à balayer la pièce du regard, le rouquin ne se fit pas prier plus encore et jeta un œil à ce dit observatoire.
Regardant avec intérêt et portant une oreille attentif aux informations que pouvait lui porter l'alcoolique, l’Américain ne garda pas sa langue pour lui et s'exprima. Ok,...., Je fais l'impasse sur la blague de mauvais goût de tout à l'heure, mais là plus d'entourloupe. Qui sont-ils ? Vous dites qu'ils sont peut-être amis ou ennemis, ok, mais clairement, ils sont quoi ? Des Partisans de l'autre Voldy ? Vous voulez les attaquer, ok, mais ils ont fait quoi réellement ? Ils ont repérer l'école ? Cherche à la trouver ? Parce que si on leur tombe dessus, qu'on les dézingues ou pas, quelqu'un à peut être connaissance de leur présence ici, donc qu'il y des survivants ou non, le fait de les faire disparaître ici et plus dangereux qu'autre chose. Nous montrer là, c'est mettre l'Astronef en danger plus qu'autre chose nan ?
SECURISATION DU PERIMETRE Part 2 : le quartier général
Guinness roule dans la poussière, et parvient tant bien que mal à finir sur ses mains et ses genoux. Ses yeux bleus paniqués examinent tout d’abord les alentours, puis se posent sur Sirius. C’est avec soulagement qu’elle le voit déjà se relever. Elle reconnaît la même expression interloquée sur son visage. Marie-Antoinette est également là, et le regard de Guinness devient très clairement plus agressif à son encontre, plein de méfiance.
« Où sont Kiev et Moineau ? » « Chouette balade ! A l'occasion, je vous apprendrai à repérer les routes. Adresse-t-elle avec un clin d’œil. Vous êtes les deux seuls à avoir sauté. Bienvenue dans la partie, les morveux. Suivez-moi. »
Le visage de Guinness s’adoucit légèrement au fur des dires de Marie-Antoinette. Sirius la suit immédiatement et Guinness en fait de même. Sa mâchoire est serrée, ses mouvements raides. Elle est encore visiblement très tendue. C’est sans un mot, mais son regard lançant des éclairs, qu’elle avance à leur suite à travers le passage secret, le long des interminables trappes et à l’intérieur d’une trappe. Ses sourcils se froncent, la curiosité commençant à prendre le pas sur l’agacement.
Guinness prend une grande inspiration en apercevant Shakespeare, le soulagement s’affichant clairement sur son visage. Mais elle retient de dernière seconde l’exclamation qu’elle allait lâcher. L’enseignant n’est pas connu pour être sensible aux marques d’affection, aussi rares soient-elle de la part de Guinness. Elle se maîtrise et reporte son attention sur Maire-Antoinette, qui leur en dit plus sur la mission. L’esprit analytique de Guinness dissèque les différents éléments à prendre en compte :
Deux groupes se dirigeant dans une même direction. S’approcher. Déterminer s’ils représentent un danger. Déterminer si possible leur dynamique.
Sirius prend aussitôt la parole et un sourire en coin apparaît au coin des lèvres de Guinness en entendant que lui non plus n’a toujours pas digéré le coup de la chute. Mais Guinness s’aperçoit très vite que cela semble lui avoir brouiller les idées.
« On ne sait pas qui ils sont. » lui rappelle-t-elle, reprenant les mots de Marie-Antoinette. « C’est pour ça que nous sommes là. Et la lettre de Vivianne est très claire : nous ne devons en aucun cas nous faire repérer, ni engager le moindre combat... Précisément pour ne pas trahir notre présence et mettre l’Astronef en danger. » Quelques secondes d’un court silence. Le pli de son front dénote sa réflexion, son regard calme posé sur le sol alors qu’elle examine la situation. « A quatre, nous sommes plus nombreux. Dommage que Kiev et Moineau ne soient plus de la partie. Mais nous somme encore en nombre suffisant pour faire deux groupes de reconnaissance. » Il était de toute évidence plus sage de les approcher à deux que seul, en cas d’imprévu. Quant à la technique d’approche, Guinness n’a aucune certitude. L’idéal aurait été un Animagus dont l’animal puisse aisément se fondre dans l’environnement qui les entourait. Son regard se fixe immédiatement à Sirius. « Tu sais te transformer en renard, non ? Quant à nous, un sortilège de Désillusion pourrait être utile. Nous ne serons pas complètement invisibles, mais très certainement plus discrets. Peut-être ajouté à un Assurdiato si jamais quelqu’un s’approche de trop près ? » Guinness elle-même n’est pas pleinement satisfaite de son plan, mais elle ne parvient pas à imaginer mieux.
Ven 15 Mar - 21:52
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sécurisation du périmètre
sirius ; guinness
cigarette au bec. la fin est proche. regard inquiet sur l'extérieur d'où s'échappe plusieurs lumières. quel merdier. deux semaines et déjà des emmerdes. t'es adossé contre un vieux bureau. la mine fatigué. t'en as déjà marre. tu surveilles ta montre. ils sont en retard. t'avais lancé à marie antoinette d'aller les chercher. un petit truc à faire un avant. ce n'était peut être pas la meilleure idée. surtout avec l'autre folle. tu tournes la tête instinctivement. recherche dans la pénombre le moindre mouvement. et enfin quelque chose. l'alcoolique de service. et deux. deux ? tu fronces les sourcils une demi-seconde. ils n'étaient pas quatre ? tant pis. deux, c'est bien. deux, c'est court. deux, c'est. on est foutu. sans compter l'autre dingue. t’écrases ta cigarette contre le bureau. ni vu, ni connu. mégot posé un peu plus loin. shakes. est-ce qu'elle t'a appelé shakes ? ta mâchoire ce crispe. pour qui elle se prend. tu lèvres les yeux au ciel. avant de les replonger vers le monde extérieur. écoutant d'une oreille les dires des deux gamins. l'un questionne trop. l'autre réfléchi plus. y a peut être un espoir. puis, celle qui réfléchi. c'est une de poudlard. alors il ne peut y avoir que de l'espoir. arrête de faire du favoritisme. tu chopes une autre clope. coincé entre tes lèvres. une vague chaleur entres tes mains. inspiration lente. avant de rejeter l'épaisse fumée. « alors. » tu frottes tes tympans. un doigt pointé vers le rouquin. « tu poses trop de question. t'as écouté c'qu'elle a dit la dame ? puis. toi. » tu te pousses du bureau. une nouvelle fumée blanche entre tes dents. sifflement léger. « t'as de bonnes idées. mais. on va s'faire baiser. » un dernier regard dans la nuit. les mains dans les poches. « l'un est bien gardé. l'autre trop nombreux. au moindre faux pas. ce sera une ribambelle de sort jeté dans le vide. ce sont des types tous aussi nerveux les uns que les autres. agrippé à leur baguette. toujours en alerte. » tu traverses la salle. à la recherche d'un autre endroit où te poser. le cerveau en ébullition. il faudrait y aller. c'est clair. jeter un coup d'oeil. observer. de toute façon. s'ils avaient voulu trouver l'astronef. il était sous leur nez. ils n'avaient plus qu'à balancer le moindre revelio. et encore. c'est gentil. ils n'avaient pas l'air de se rendre compte de où ils étaient. tout s'embrouiller. un mégot fumant entre les dents. quel pompier. « ok. l'animagus avec.. » un regard presque hésitant vers la. enfin. marie antoinette. quoi. « antoinette. et la rouquine avec moi. on prends chacun un groupe. je prends celui qui est le mieux gardé. on utilisera les sorts de désillusion., si besoin. rester dans la pénombre. » un court instant de réflexion. les yeux navigant sur l'américain et la reine. « si vous vous faites remarquer. le gamin sera déjà changé. donc ils penseront que t'es toute seule. et vue comment t'es ... ils vont, peut-être, croire que t'es paumé. » tu l'espères. « pas de sort. on ne se bat sous aucun prétexte. j'espère que c'est compris ? » un regard sur les deux plus jeunes. un avertissement implicite. tu passes une main dans tes cheveux. descendant sur ton visage. « au moindre, problème vous retournez à l'astronef. à la moindre hésitation, vous faites demi-tour. à la moindre petite chose. vous partez. on observe seulement. marie antoinette. quelque chose à dire ? » t'as encore une clope fumante posé sur tes lèvres. t'as pas plus envie qu'ça de descendre.
code by exordium.
hors-sujet :
navré du temps de réponse, le serveur dns chepastropquoi a décidé de ne pas marcher au manoir (résidence étudiante) :uidiot:
Sam 16 Mar - 16:24
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La Chute Sirius, Moineau, Guinness, Kiev....
Le jeune Américain était curieux et optimiste, peut être trop, pensant à tort que les deux ''adultes'' de l'équipe avait un minimum mâché le travaille en ayant tout de même quelques petites infos supplémentaire sur les groupuscules qui traînaient dans le coin. Restant sur sa faim en terme d'informations, venant même, presque, à passer pour un con devait l'autre rouquine qui ne juger que par la lettre de la directrice, qui au passage lui rappelait à l'ordre, que l'affrontement était proscrit. Sirius le savait bien, pourtant, quand bien même il en avait connaissance, au fond de lui, traînait l'amertume des jours derniers et l'image de Monseigneur ainsi crucifier.
Écoutant les idées des uns et des autres sur les techniques d'approches, l'idée principale qui revenait dans la bouche des Anglais était qu'il se devait de revenir sa rousse fourrure, cela afin de se fondre dans le décor. N'y voyant aucun inconvénient, c'est plutôt l'idée de faire équipe avec l'autre alcoolique qui le fit mordiller le creux de la joue.
Cette dernière n'ayant rien à redire sur le plan de son comparse professeur, Sirius lui, passa sa main au niveau de sou cou et y sortit de sous ses vêtements, une poche de cuir. Ainsi accrocher en collier, cette bourse peau de Moke était bien pratique pour l'Animagus qu'il était. Venant à y ranger tranquillement sa baguette, il la referma soigneusement et la replaça sous ses vêtements. Jetant un œil à la Française, il lui dit alors
Ok, si vous êtes prête, je le suis de ce pas. Lâcha-t-il en tendant les bras devant lui et se transformant en une quelques secondes, venant à fusionner toutes ses affaires avec son corps, puis se recouvrant progressivement d'une fourrure rousse et perdant grandement en taille. Ainsi, l'Animagus aguerrit qu'il est, était dorénavant un Renard au pelage soyeux, se dressant sans crainte devant ses comparses sorciers, attendant l'ouverture de la marche de sa partenaire alcoolique.
SECURISATION DU PERIMETRE Part 2 : le quartier général
« alors. » Shakespeare prend la parole, et Guinness, qui s’était quelque peu animée, reprend son attitude statuaire habituelle. « tu poses trop de question » dit-il à Sirius, avant de se tourner vers elle-même. « puis. toi. » Rien ne laisse apparaître que Guinnness se soit tendue. Si ce n’est, pour ceux qui ont l’ouïe fine, qu’elle a retenu sa respiration. « t'as de bonnes idées. mais. on va s'faire baiser. » Pas un soupir, pas un pincement de lèvres. C’est tout juste si elle bat des cils. Elle accepte la réalité avec froideur. Dans sa poche, sa main gauche fait tourner son paquet de clope entre ses doigts. Voir Shakespeare fumer doit sans doute être contagieux. ça, ou la pression... Alors que Shakespeare les répartit en équipe, Guinness montre pour la première fois un signe de faiblesse. Un éclair d’angoisse a traversé ses yeux alors qu’elle considère Marie-Antoinette, disparaissant à la seconde où Shakespeare décide de faire équipe avec elle. Un souffle par ses narines masque son soupir de soulagement. «on prends chacun un groupe. je prends celui qui est le mieux gardé. on utilisera les sorts de désillusion., si besoin. rester dans la pénombre. pas de sort. on ne se bat sous aucun prétexte. j'espère que c'est compris ? » Sous le regard insistant de Shakespeare, Guinness acquiesce paisiblement. Son dossier scolaire stipule clairement que le combat n’est pas sa première réaction face au danger. « au moindre, problème vous retournez à l'astronef. à la moindre hésitation, vous faites demi-tour. à la moindre petite chose. vous partez. on observe seulement. marie antoinette. quelque chose à dire ? »
« Moi, j'ai quelque chose a dire. » Guinness saisit l’occasion. Son regard se pose avec incertitude sur Marie-Antoinette. « A quoi reconnaître la route de retour ? »
Mar 19 Mar - 17:18
Vivianne
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Le quartier general
Elle n'a rien à dire parce qu'elle n'en a rien à branler, pour commencer. Marie-Antoinette se contente de prendre une nouvelle gorgée de sa bière. Elle sera avec numéro un. Il a l'air près à foncer dans le tas. En définitive... Il va être chiant à surveiller. La rousse, par contre, pose des questions très pertinentes... Auxquelles, malheureusement, elle n'a aucune envie de répondre. Surtout dans des conditions pareilles, sans préparation et sans apprentissage théorique préalable. Marie-Antoinette est la première à admettre préférer une bonne rouste pour leçon (la preuve avec le saut de l'ange), mais là, ce n'est juste pas possible.
« Les routes reconnaissent les essences magiques. C'est une sorte d'aura, propre à chaque sorcier. Il faut que vous développiez les vôtres pour pouvoir repérer les bonnes étoiles. »
Son visage, d'abord tout à fait sérieux, mue vite en un sourire ironique.
« En d'autres termes, vous voyagez uniquement en tête à tête avec moi, les mômes. Pour l'instant. Je sais, je sais, ne cachez pas votre joie. Mais les bières là-bas. Pointe-t-elle le pack qui gît dans un coin. Ce sont des portoloins. Il y en a une pour chaque heure : 0H000, 1H11, 2H22, 3H33, 4H44 et 5H55. A n'utiliser qu'en cas de nécessité absolue, évidemment. Le but c'est pas de mettre Vivianne en pétards en nous viandant sur cette simple mission d'observation. Sur ce. On se tire ou on se tire ? Allez le rouquin, magne tes fesses, on a un camp à mater. »
(Les sujets 3 seront ouverts dans la soirée.)
Les précisions
Marie Antoinette dite la Reine Marie Antoinette (PNJ)
Comme son pseudonyme le suggère, c'est une française. Une beauxbâtons. Malheureusement, elle n'a rien de la grâce et du standing qu'on attribue normalement à sa délégation. Marie Antoinette n'a aucune manière, tourne à l'alcool et au tabac. C'est la pire démagogue de tout l'Astronef, et probablement une pédagogue pire encore (on aime rigoler en disant qu'elles concourent pour le titre de pire prof, avec Meryt-Neith). Les rumeurs lui attribuent toutefois la maîtrise de l'espace temps. Mais comme on a encore jamais vu la couleur de son potentiel, ou qu'elle n'a même jamais tenu un cours pratique eh bien... Ça n'est que ça : une rumeur. D'ailleurs, elle ne semble pas avoir de baguette, mais sa magie répond très bien à sa bouteille de bière.
Explications : Les sujets 3 seront ouverts dans la soirée. Vous êtes libres de prendre une bière de secours.
Note : L'ordre ne change pas : d'abord Sirius, ensuite Guinness. Shakespeare est en fin de tour.
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Ven 8 Mar - 19:17
Ils atterrissent sur un lopin de terre de manière plus ou moins violente (mais pas au point de se casser quelque chose, ils peuvent rouler sur quelques mètres, ceci dit). Marie Antoinette est sur ses deux jambes. 
