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it don't run in our blood

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Mar 12 Mar - 16:35
Skopje
Skopje
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royals

Traître. Les mots font écho à d’autres qu’on avait crié, plus anciens, moins récents. Skopje doit arrêter de penser, mais la situation le fait encore trembler. Pourtant, il se sentait bien au début, calme, mais les mots de Kiev l’agitent, le torturent un peu, reviennent toujours plus fortement même s’il tente de s’apaiser, de réfléchir à quelque chose d’autre. Il ne doit se raccrocher qu’à ce qu’elle avait dit en dernier avant qu’ils s’en aillent. Ça va aller. Il se l’était déjà dit à lui-même, on le lui avait beaucoup dit aussi d’ailleurs avant encore.

ça va aller
ce n’est pas si grave
on va s’en sortir
((je veux pas mourir))

Comme dirait Sherry : spoiler alert, c’était juste pour rendre le truc plus dramatique, mais ça avait toujours marché sur le moment. Pendant un temps. Ça va aller Skopje. Il se le répète, il en a besoin le pauvre gamin. Ce n’est pas la peur qu’il tente de chasser, c’est autre chose, mais ça lui retourne tout autant l’estomac. Souvenirs : Peut-être bien parce que c’est sa faute ? Il secoue la tête, c’est elle qui l’a voulue. Il n’avait rien décidé, il n’avait même pas eu son mot à dire. Il aurait préféré qu’elle ne fasse rien, qu’elle reste à sa place et lui à la sienne. Ils n’en seraient pas l’un ainsi. Il serait bien plus tranquille. Ça va aller Skopje. Il lui faut une distraction dans sa cellule, il y était allé tôt, bien trop tôt sans qu’il ne sache pourquoi. Pour avoir l’air moins coupable sans doute ? Il voulait surtout siffler son innocence en premier, mais il semblerait que les choses ne se passent pas comme ça ici. Il n’y a pas de premier arrivé, premier servi. Ça l’agaçait quelque peu. Au moins il fut seul quelque temps dans sa cellule, n’avait pas besoin de faire semblant, d’être un minimum rayonnant. Il n'y a que a Kiev à qui il lançait quelques regards. Elle ne méritait nullement d’être ici, et il aime bien, vraiment. Les différentes entrées se sont faites plus tard, à tour de rôle. Le garçon à le bonheur de ne pas se trouver dans la même pièce qu’Alcyone. Il peut juste le voir de loin, c’est mieux comme ça pour sûr. Il n’aurait pas survécu s’ils étaient enfermés trop près à se brûler. Béryl est la dernière à se faire désirer. Elle le rejoint lui et Stravinsky, mêle à la glace des épices. Glisse sur ses lèvres de Skopje un fin sourire qui ne devrait pas être ici. Beryl fulmine, réchauffe la pièce, ça l’arrange plus que ça ne l’inquiète. Beryl avait toujours eu le don pour être distrayante, presque aussi solaire que les deux autres. “La princesse est enfin arrivée” légère révérence qu’il se permet de faire, courbant l’échine. Elle avait effectivement montré ses lettres de noblesse que beaucoup auraient pu imaginer pour se moquer, Skopje espérant quant à lui en user pour détendre l'atmosphère. Ce n’est pas vraiment le moment Skopje. Il s’en moque, la décision est égoïste,  il veut juste qu’on le sorte de ses pensées. Alcy à lui seul ne saurait suffire. pas si loin.  Stravinsky il n'oserait lancer aucun mot, elle l’effrayait bien trop. Il ne restait définitivement que Beryl quoi qu'elle fasse, quoi qu'elle dise.



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Mer 13 Mar - 0:21
Valentina Chesanova
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Valentina Chesanova
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Il faut la menacer et lui renvoyer quelques coups pour contraindre Beryl à abdiquer et se rendre aux sous-sols. Elle arrive donc, frustrée, entrain de pester contre la moitié de la planète, et surtout celle qui se trouve à bord de l'Astronef. Elle n'a trouvé aucun moyen de contacter son père. Pas de hibou, pas de transplanage, et aucun moyen de sortir ou de faire sortir quelque chose. Il semblerait qu'il lui faille endurer la prison et les accusations complètement absurdes. Pourquoi irait-elle tuer une née-moldue ? Pourquoi considérerait-elle seulement le sang ? En parlant de sang, elle éclabousserait bien les murs de leur cellule avec le sien. Son regard poignarde le russe. Elle n'a même pas retenu son nom, tant il est hors propos (et sans importance).

« Ne me chauffe pas, ruskov. »

Car elle serait capable du pire. Elle n'oublie pas : le traître est parmi eux. Et ce n'est certainement pas Alcyone, à qui elle jette un bref coup d’œil peiné. Il ne reste que ces satanés russes. Elle n'a aucun préjugé, et pourtant, elle considère qu'aucun qui se trouve ici-bas ne mérite la présomption d’innocence. Pour le moment. Même Stravinsky. Celle qui lui aura donné du temps et de l'énergie... Sa confiance s'est effritée aussi vite que Vivianne les a enfermés. Un sourire mauvais lui pend aux lèvres.

« Ou je pourrais décider de te faire la même chose qu'à Monseigneur. »

Elle menace sans égards, et sans prendre garde. Si elle s'échine à ce que la scène soit parfaite, et que la véracité de sa voix ne puisse être contestée, personne n'est assez stupide pour tomber dans le panneau. Encore qu'elle ne connaît pas l'autre minable. Ils sont peut-être tous aussi ravagés que l'autre poseur de bombe opiacée, en bas du classement... Qui sait. C'est un tout autre écosystème, et elle ne se hasarderait pas à essayer de deviner ce qui s'y passe.
En attendant, ses bras se croisent sur sa poitrine, et elle se loge tranquillement dans un coin de la cellule. Elle jauge tout le monde d'un air mauvais, et son regard s'attarde particulièrement au-delà de leur propre cellule. Belgrade. Magnifique. Et venimeuse, aussi, semble-t-il.
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Ven 15 Mar - 19:55
Skopje
Skopje
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Elle rugirait presque la féline, autre lionne dont Skopje ne semble attendre que la morsure. Elle lui dévoile ses canines pour l’avertir, le contraindre au calme, elle use même d’une menace. Les yeux s’illuminent. La peur de le traverse aucunement le garçon qui lui fait face, son ton brûlant ne pourrait au mieux que le faire rire à croire qu’il se pense en sécurité enfermer dans cette cellule. Skopje la sait de toute façon aucunement coupable et trop peu stupide pour faire des aveux publics d’autant plus devant Stravinsky. “ Tu peux arrêter tes mises en scène ici, tu sais” qu’il dit en soupirant, comme s’il était lasse de son mensonge. Il n’y avait plus personne à impressionner, le rideau était tombée au moment où elle était rentrée dans ce sous-sol et avait été enfermée avec eux. Puis Skopje n’allait pas se rasseoir la queue entre les jambes juste parce qu’elle le demande, pas si tôt. Ils venaient de commencer. “et je m’appelle Skopje” il revient sur le détail comme un enfant rancunier, il n’a nullement apprécié qu’elle ne sache pas comment le nommer même si en réalité la chose n’avait rien de bien étrange. On s’inquiète rarement des têtes sur lesquelles l’on marche, ce n’est pas Béryl et ses talons qui y feraient exception. Sauf que Skopje rôde dans le milieu du classement et la vivianne l'a tout de même nommer suspect, peut-être que l’autre devrait se montrer moins dédaigneuse. Langue siffle : “ A ton avis, pourquoi les traîtres n’ont pas tué ton ami Serpentine ?” La question roule sur les lèvres parsemées d’une curiosité dérangeante. La question valait d’être posée selon lui, c’était même la première chose à laquelle il avait pensé quand il avait entendu Béryl se faire accuser. Plus belle proie se trouvait à ses côtés. “Je veux dire cracmol et loup-garou, on ne peut sûrement pas faire pire comme abomination” Pour eux qu’il aurait pu continuer, mais là s’arrête sa langue comme s’il voulait que la belle pense qu’il puisse consentir à de telles paroles. Le Slave va même jusqu’à afficher un air de dégoût sur son visage avant de se rasseoir, secouant sa tête d'incompréhension. Peut-être jugera t’elle enfin bon de le mordre, les premiers mots révérencieux n’était que le tour de chauffe. T'es plus si doux Skopje.



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